Tradition respectée pour commencer notre année 2025 : Une petite rando en boucle depuis Moulis : Montée à la Petite Pène ou nous cassons la croûte en profitant d’un éphémère rayon de soleil, puis descente à Montfaucon ou nous rejoignons un sentier qui nous ramène à Moulis. Puis retour à Saint Lizier ou presque tous les membres sont là pour un moment joyeux autour des galettes : on pousse même une chansonnette, accompagnés par Armel et sa guitare.
Olivier

Un grand groupe homogène de 18 participants au départ du village d’Antras.
Nous aurions pu braver la neige attendue la veille ; il n’avait pas neigé.
Nous aurions dû braver le froid ; le soleil radieux et radiant est venu à notre service.
À la pause de midi, le groupe s’est scindé en trois. En guise se sieste post meridiem quelques courageux se sont attaqués au pic de Sérau (1720m), tandis que d’autres plus modestes partaient en face sur le pic du Mail des Morères (1618m). Le gros de la troupe restant sagement à deviser sur le temps qui passe, à prendre le soleil accompagné d’une bises rafraîchissante. Il fallait bien garder les sacs !
Autrement dit une rando à la carte et, selon notre devise, dans une saine ambiance de franche camaraderie.
Pour une belle journée d’hiver, c’en était une.
André

La météo était mitigée au départ de cette boucle qui devait nous emmener au Rocher de Miglos en passant par le Pla de Montcamp à 1905 m. Belle randonnée en grande partie sur des crêtes qui nous ont offert de magnifiques vues sur tous les sommets environnants. Seules quelques plaques de neige gelées agrémentaient la progression.
La Pause repas au sommet du Pla de Montcamp, juste illuminée par un rayon de soleil, ne s’est pas éternisée. La descente, passant par le Rocher de Miglos, s’est avérée assez longue et nous sommes arrivés au village de Norgeat à la tombée de la nuit. Retour sur st girons sans passer par la case pot de l’amitié à cause de l’heure tardive.
Nous avons fait environ 20 km pour un dénivelé de 1100 m.
JP

En ce dimanche, nous partîmes à 4 avec pour objectif de faire le Mont Ceint. La météo n’est pas prévue d’être clémente avec des vents de plus de 100km/h annoncés sur les crètes.
La route étant fermée pour aller à Coumebière, nous nous sommes arrêtés entre Agneserre et Aulus, ce qui nous a rajouté pratiquement 400m de dénivelé supplémentaire. Nous avons pris un petit chemin invisible de la route mais très bien tracé qui nous a conduits à Coumebière en 1h20. 4 à 5 cm de neige sont tombés la veille donnant un magnifique manteau blanc sur le paysage.
Au bout du cirque de Coumebière, au lieu de prendre le chemin GR10 enseveli sous la neige, nous décidons de prendre le petit couloir qui monte directement au col de Saleix, ambiance haute montagne. Nécessité de mettre les crampons pour le plus grand bonheur de certains ….
Le vent commence à se faire sentir sur les hauteurs ….
À midi, nous arrivons au col qui nous offre un superbe point de vue sur les montagnes couseranaises.
Le vent étant de plus en plus violent, nous décidons de ne pas faire le sommet du Mont Ceint et de descendre pour manger plus bas un peu à l’abri.
Après s’être restaurés, nous redescendons en prenant le GR10 qui mène à Aulus.
Arrivés à la voiture vers les 15h, ce qui nous permet de prendre le pot de l’amitié à Oust.
Bonne journée … qui j’espère, a ravi toutes et tous.
Thierry

22 participants pour cette belle journée qui, depuis le col du Portet d’Aspet, nous a conduits jusqu’au rocher de Paloumére (1608m) où nous avons pu bénéficier d’un magnifique point de vue sur l’ensemble de la chaîne. La neige était excellente et nous avons pu progresser sans raquettes. Du pic de Paloumère nous avons gagné, par un travers, le pied du tuc des Haurades où nous nous sommes arrêtés pour un repas au soleil. Après une belle bataille de boules de neige, une courte ascension vers le Pas de L’Àne pour digérer, puis retour sur le Portet d’Aspet.
Et, comme toujours, un arrêt au bar du village pour clore cette journée.
JP

En ce mercredi 5 février nous voilà partis de bonne heure pour rejoindre le Pla de Beret, à côté de Baqueira.
Nous sommes 7 pour faire soit les étang de Baciver soit le sommet à 2640m en fonction de chacun.
Après 2h et quart de route, nous voici arrivés au grand parking de la station. Le temps de s’équiper, et nous voici partis en direction des étangs de Baciver avec les raquettes, 20cm de neige fraîche étant tombés 2 jours plus tôt. Le soleil est de la partie avec un magnifique ciel bleu.
En arrivant aux étangs, nous pouvons voir un panorama exceptionnel, la neige ayant recouvert de son linceul blanc les étangs et les reliefs.
Nous attaquons la montée du col de Baciver qui nous mène à 2400m. De là, nous commençons l’ascension finale en ayant chaussés les crampons. La vue au sommet, nous permet de voir les montagnes du Couserans dont le Valier, Barlonguère, la Mail de Bulard, …
Le déjeuner se passe au soleil. Après avoir repris des forces, nous redescendons sur la station ….
Nous rentrons directement sur Saint Girons, les bars étant fermés…
Thierry

Sous un ciel clément, nous partons du village d »Aulus, près du mémorial aux Juifs, pour emprunter le GR10 vers la cascade d »Ars. Dès le départ nous trouvons la neige.
Nous ne sommes que 4 car 2 personnes se sont désistées au dernier moment pour des problèmes de santé.
Sur les conseils d’Olivier nous suivons le GR 10  qui longe le Garbet Après le pas de la Mouline, nous longeons le torrent d’Ars, en surplombant la gorge d’Enfer. Au lieu-dit Prabis se dresse une tour présentée comme four à charbon de bois. La pente  se redresse, le torrent gronde de cascades en trous d’eaux. Nous rejoignons la piste 700m avant le  pont d’Artigous, et c’est la grimpette vers la cascade. Nous rencontrons de plus en plus de neige, mais le sentier est tracé et la progression facile, sans raquettes.
La vue sur la cascade, à moitié gelée, est sublime.
Nous continuons à monter (100 m de plus de dénivelé) pour nous arrêter et manger notre pique-nique, au pied de la cascade supérieure, presque entièrement englacée.
Nous redescendons par le même chemin pour arriver à la voiture à 15h45.
Bilan 730 m de dénivelé et 11 km.
La journée se termine autour de bonnes crêpes arrosées de cidre aimablement préparées par Germaine.
Nicole Boudigue

Par une matinée annoncée Orange (météo défavorable en ce 9 Février) nous remontons une nouvelle fois la vallée de la Bellongue, traversons tous ces villages terminés en Ein pour nous retrouver au  pied de cette chère Bouiguane qui émane du pic de la Calabasse.
Raquettes accrochées au sac à dos nous nous déportons et rallongeons volontairement vers le nord-ouest et retrouvons « le Rocher » qui nous propose une belle vue d’Autrech sous la neige.
À l’abri du massif d’Arbas nous profitons par l’ouest d’une montée tranquille et normalement très ensoleillée jusqu’au col de la Croisette, plongeons et rattrapons le col du Piejau et sa cabane incontournable.
Maintenant chaussés de raquettes nous prenons la longue crête plein sud menant à la Tucole de Pailleres. (qui nous offre une vue superbe sur la Calabasse, les Pales de Rase, …) Nous nous posons juste en dessous.
(Les mines situées peu après le Tucole de Pailleres en contrebas par l’ouest de la partie sommitale du Pale de Rase Inférieur seront je l’espère la destination d’une prochaine rando.)
La modification du programme aidant et talonnés par la faim c’est le moment de s’arrêter. Cette halte  bienvenue au milieu de ce cadre « bucolique » s’il est permis de le dire avec la complicité du soleil et même le vent se calme (la force de la pensée ) rendent cette journée enthousiasmante et même au-delà si nous tenons compte de certains propos dispensés lors de cette descente que la morale m’interdit de reprendre!!!!!!!
En effet nous précipitons le retour vers la cabane du Piejau ou nous attend un café généreux …….
La derniére partie depuis le refuge s’effectue en 1h30 au milieu de glissades mémorables.
Au total 980 m cumulés et 16,5 km effectués.
Jean

nb : le massif d’Arbas est le plus important massif spéléologique de France du fait de ses nombreuses entrées interconnectées et de son développement (plus de 115 km de galeries et de rivières forment un réseau étagé sur 1000m de dénivelé).
La vallée de la Bellongue est le paradis du thé.
Jean

C’est presque devenu un classique hivernal.
Le Mont Né (2147m), principal sommet du massif de la Barousse est un des plus beaux belvédères des Pyrénées et des plus faciles d’accès. Il est aussi réputé pour son lever de soleil, mais ce sera pour une autre fois.
Nous partons de la station de cette petite commune de Bourg d’Oueil (1350m) qui a la particularité d’être une des plus petites de France avec ses 13 habitants ; il étaient 171 en 1821 – les temps changent !
Le déficit de neige nous a permis de laisser les raquettes à la maison. Ce qui n’a pas empêché pour certains d’y trouver quelques descentes idéales pour s’adonner à leur sport d’hiver favori, la luge-sur-fesses. Ou encore se batailler en roulant dans la neige en remplacement de la sieste d’après repas.
En comptant bien c’est la 7e fois que j’y viens et je n’arrive pas à m’en lasser. Ce ne sera sans doute pas la dernière.
André

Nous étions 15 au départ de Salau pour cette randonnée d’environ 700m de dénivelé pour une douzaine de kilomètres.
Ce dimanche présentait une belle fenêtre météo et nous n’avons pas été déçus. Arrivés à l’entrée du cirque, c’est un paysage hivernal qui nous attendait. En effet, malgré l’altitude modeste, tout était blanc de givre et de neige, un sacré spectacle ! Après nous être rendus au fond du cirque pour profiter de l’ambiance, nous sommes vite revenu vers l’entrée où le soleil était enfin parvenu et où nous nous sommes installés pour le repas.
La descente s’est effectuée par une petite variante, un peu pentue vers la fin, et c’est à Seix que nous nous sommes consacrés au traditionnel pot de séparation.
JP

Cette randonnée hivernale a pour objectif la Calabasse par la crète Nord.
Nous sommes 6 à partir de l’Osque du Couret en ce dimanche matin. Nous laissons les raquettes aux voitures pour nous alléger. La prévision météo est correcte et nous donnera de belles éclaircies dans la journée.
Dès le départ, le sentier est raide et un peu technique par endroits mais cela ne nous arrête pas !
Rapidement nous arrivons à la cabane de l’Herbe Soulette où nous faisons une pause avant d’attaquer la crète … qui est plutôt une croupe.
La neige qui est tombée récemment nous ralentit. Les derniers mètres sont un peu techniques mais nous arrivons au sommet malgré tout.
De là, le panorama est superbe sur la chaîne de montagne du Couserans. La météo s’étant refroidie, nous décidons de redescendre rapidement pour déjeuner à la cabane.
A partir de là, la descente se fait tranquillement tout en faisant attention pour arriver au parking.
Superbe journée avec un groupe homogène qui je l’espère aura bien profité.
Nous prenons le pot de l’amitié au Picolo à Castillon.
Thierry Rougé

Randonnée en boucle depuis Alas. Visite de la coume de Lachein et de son extraordinaire forêt de mousse. Remontée sur Balaguères, puis pique nique au sommet de Sainte Catherine et redescente par le gouffre Sainte Catherine ou Régine tente une aventure spéléologique. Enfin nous passons par la jolie source baget, résurgence des eaux souterraines du massif.
Une agréable randonnée de 500m de dénivelé et de 7km
Olivier

Une belle découverte pour certains des 12 randonneurs présents. Au départ du village d’Appy, c’est une montée régulière au cours de laquelle de beaux points de vue s’offrent à nous.
Au terme de cette montée, nous découvrons dans son écrin blanc ce petit étang en grande partie enfoui sous la neige. Le soleil est là, peu de vent, et donc des conditions idéales pour un bon repas au grand air.
Retour tranquille et le pot habituel pour clore cette belle journée.
JP

Nous voici partis à 13 participants en ce beau dimanche très ensoleillé … après une semaine de grisaille et de pluie dans la vallée.
Départ classique en partant de Balacet, la montée à la cabane de l’Araing se fait tranquillement à travers la forêt et les pâtures où nous trouvons un peu de neige. Petite pause, et nous voilà repartis pour le sommet du Pic de l’Arraing où sous le soleil magnifique nous admirons le paysage qui couvre toutes les montagnes couseranaises. Dans la foulée, nous continuons sur la crête très agréable et facile mélangeant rocher et neige. Cette crête nous permet d’avoir une vue sur les 2 vallées Bellelongue et Riberot.
Cette crête de 3 km nous amène au Pic de Sérau où nous prenons un repas bien mérité en profitant de la vue.
La descente sur le col des Morères nécessite un peu d’attention mais tout se passe bien …
En prenant le sentier du Biros nous voilà de retour à la cabane de l’Arraing et descendons sur Balacet.
Sortie très agréable et très ensoleillée où chapeau et crème solaire ont fait leurs sorties.
La journée se finit après le pot de l’amitié à Castillon.
Thierry