quelques-unes de nos dernières sorties

Char de Lique

Nous étions 9 (8 femmes et un homme) pour partager cette petite rando qui nous a menés par le col de Belem jusqu’au Char de Lique (796 m). Puis retour par le col de Belem et en passant au dessus de la carrière nous avons cheminé jusqu’au col de Sous pour arriver au hameau de Teulariats, et retour vers les voitures.
Le ciel s’est dégagé au Char de Lique pour nous permettre d’admirer à 360° le panorama sur la vallée de Moulis, St Girons, St Lizier et les montagnes du Couserans.
250 m dénivelé et 2h30 de marche. Environ 10 km. De quoi nous mettre en appétit pour le repas partagé à l’ancien presbytère de St Lizier.
Nicole BOUDIGUE

col d'Ayens - 22 jan.

Malgré une température hivernale négative, nous étions 10 pour démarrer cette petite rando qui nous a conduits au col d‘Ayens, pour continuer sur la piste forestière de la Calamane (2h AR). La neige était tassée et gelée dans les ornières faites par les 4x4 des chasseurs et nous n’avons pas pris les raquettes.
De belles éclaircies nous ont permis d’admirer le paysage couserannais avec des massifs bien platrés.
Le froid a écourté notre pique nique au col d’Ayens et nous avons poursuivi sur la route forestière des Espinassières jusqu’au col de Bes.
Du col nous avons rejoint, par le sentier forestier, le col d’Ayens pour ensuite rejoindre nos voitures que nous avons retrouvées à 15 h.
Dénivelé de 300m, 4h50 de marche et 15km.
Contents d’avoir bravé le temps et de nous être oxygénés !!!
Nicole BOUDIGUE

cap de Bouirex - 22 jan.

Il fallait être courageux pour s’élancer par ce matin glacial. Nous étions huit quand même et avons chaussé les raquettes assez rapidement pour nous engager dans la forêt enneigée. Après cette ascension tranquille, nous débouchons à découvert au pied du Bouirex qui se détache à peine sur un ciel de plus en plus gris. A cet instant, les conditions changent. En effet, un vent violent nous frappe faisant dégringoler la température.
Deux skieurs rencontrés là nous déconseillèrent d’effectuer l’ascension, les conditions météo plus haut étant vraiment très mauvaises. C’est donc (soulagés) que nous orientons notre course vers les antennes TDF, dans une neige profonde et fatigante. Retour par la cabane de la Coumière où un bon feu (allumé par des randonneurs encore présents) nous accueille et nous permet prendre un repas réconfortant. Le chemin qui nous ramène au col de Catchaudégué est plus calme bien qu’un peu long et c’est malgré tout satisfaits de cette journée sportive (13km et entre 7 et 800 m de dénivelé) que chacun rentre à la maison.
J-P

 

col des Morères - 29 jan.

Un dimanche gris mais pas trop froid pour les 18 partants. On ne chaussera pas les raquettes avant le col de La Croix où une petite pause permet de se regrouper et de se réconforter.
Reprise donc avec les raquettes à travers un paysage magnifique de neige et de givre pendant toute la traversée de la forêt. Au sortir de celle-ci, nous attaquons la montée vers la cabane de Couledoux, malheureusement occupée car nous espérions nous y arrêter pour la pause déjeuner. L’absence de vent fît que nous poursuivîmes jusqu’au col où nous eûmes le temps de nous restaurer avant que la température ne chute.
La descente, agrémentée de quelques glissades et chutes plus ou moins volontaires, nous ramène, via la cabane des Morères, aux voitures à Antras. Direction le Picolo pour le traditionnel pot avant de nous séparer après une belle journée de convivialité.
Jp

crête de Conudère - 1 fév.

Partis du parking de la fontaine de l'ours, il nous a fallu une heure de montée à travers le forêt enneigée pour atteindre la crête ensoleillée. Casse croûte au sommet du Cornudère devant un des plus vastes panoramas des Pyrénées. Ensuite il nous a suffit de suivre la crête : Tucol puis Haurades avant de rebasculer sur les versants nord. Le brouillard nous attaque au début mais bien vite chassé par un changement de vent. Petit détour surprise pour aller contempler l'entrée du spectaculaire et mystérieux puits de la Hajolle.
Olivier

étang d'Araing - 5 fév.

Nous étions 8 à chausser les raquettes dès le parking de Fréchendech pour cette course vers l’étang d’Araing. Deux heures pour traverser la forêt enneigée avant de trouver le soleil à la cabane d’Illaou pour une pause réconfort. La montée vers l’étang dans un magnifique environnement immaculé s’avère un peu plus difficile pour certains, mais c’est avec un grand plaisir que le barrage est atteint. Le spectacle toujours aussi extraordinaire nous accueille pour le temps du repas, pause bienvenue agrémentée de la dégustation de quelques crêpes …
La descente s’effectue sans problème, avec une petite variante vers la chapelle de l’Isard, et nous retrouvons le parking vers 18h. 1000m de dénivelé, environ 19km et 9h de randonnée, encore une bien belle journée.
J-P

col de l'Arech - 5 fév.

Partis à 12 depuis Villargein à 9h30 sans les raquettes car la neige paraît haute.
Nous avons suivi la piste pour passer devant l’Arbre rond, puis montée vers le col de l’Arech sous un beau soleil qui dévoile un  splendide paysage des montagnes couserannaises enneigées. Nous trouvons la neige à partir de 1100m mais nous progressons assez facilement sur les traces. Après 3 h de montée nous nous abritons devant une des cabanes du col pour le pique nique. Ambiance joyeuse. Vers 13h le ciel se dégage complètement pour nous offrir un paysage enchanté.
Descente par des raccourcis pour arriver aux voitures à 15h30.
Nous terminons cette belle journée par le pot de l’amitié à Castillon.
Nicole Boudigue

Coume Grande – Sarrat de Casalins - 12 fév.

Nous étions douze pour cette sortie. Un soleil radieux, un ciel sans nuages, une température clémente, toutes les conditions météorologiques nous ont été favorables. Seule la neige, bien ferme à la montée, a fait chuter, dans la descente sous le col, une bonne partie d’entre nous. Mais qu’importe, nous avions toujours dans les yeux ce panorama magnifique sur la Haute-Ariège, récompense de notre effort. Après le col sans nom, une petite avancée sur la sarrat de casalins nous a permis d’admirer de près la face abrupte de la dent d’Orlu. Trois d’entre nous, en peine de montée, sont allés au col de l’Egue. À la descente, les massifs du Saint-Barthélémy et du Soularac nous faisaient face. Nous nous sommes arrêtés à « La Forge » pour le pot de l’amitié, avant de subir les embouteillages sur la route du retour.
Mado.

col du Portel - 19 fév.

Nous étions 11 pour démarrer à 9h30 cette rando-santé du col de Rilles à 950m vers le col du Portel.
Nous avons suivi la piste déneigée mais à quelque 300m du col de la Crouzette la route enneigée et un peu glacée n’aurait pas permis l’accès en voiture.
Après 1h de marche nous débouchons au col de la Crouzette 1248 m pour admirer toute la chaîne enneigée des Pyrénéés ariègeoises.
Nous suivons la piste plus ou moins couverte de neige et avançons sur ce balcon parallèle à la chaîne pendant 1h30.
Au col du Portel 1432 m, la couche de neige est épaisse et nous nous enfonçons sans les raquettes. Mais nous trouvons un peu d’herbe pour manger notre pique nique sous un soleil radieux.
La descente vers les voitures se fait en 2h30 après une pause au col de la Crouzette pour encore profiter du soleil et du paysage. Nous avons du mal à citer les sommets qui sont devant nous mais nous en identifions quelques uns : Le Valier, le Certescans et le Montabone, les 3 Seigneurs.
Nous retrouvons les voitures à 16h30 après 480 m de dénivelé, 14 km et presque 5 h de marche.
Nous redescendons par Rimont mais aucun bistrot ouvert (même pas à StGirons) pour le pot de l’amitié.
Ce qui n’enlève rien au plaisir partagé de cette petite randonnée !
Nicole Boudigue

refuge du Chioula - 8 et 9 mars

Nous étions 12 pour ce bref séjour au refuge du CHIOULA à 1600m.
Mercredi le premier groupe encadré par DIDIER atteignait sans difficultés, sans raquette, le rocher de SCARAMUS puis le PIC FOURCAT 1921 m depuis le col de Marmare, le 2ème groupe découvrait le plateau du CHIOULA sous un ciel bleu. Les nuages se formèrent après 16 h et, c'est quelque peu mouillés que le 1er groupe arriva au refuge où le poêle à bois ronflait permettant aux vêtements et chaussures de sécher.
Bon accueil au refuge par Alvaro : partie de belote, échecs, bavardages occupèrent la soirée ainsi qu'un final en chansons (la chorale n'est pas au top, il a plu dans la nuit...😅)
Jeudi MADO partit au PIC DOULENT 1780M, elle écrit :
une promenade en perspective mais ce fût en réalité un cumulé d'environ 360 m dû aux montagnes russes que la nature nous a imposé dans la 1ère moitié du parcours, beau panorama à 360°. Le vent frais nous en a chassé rapidement, ce qui nous a permis de pique niquer au refuge en compagnie de nos 4 randonneuses qui, elles aussi avaient randonné 3 h sur la piste en boucle du RIEUFERT.
Le soleil est apparu sieste avant le retour et arrêt à AX pour le pot de l'amitié.
Satisfaction et promesse de recommencer
Monique

cap de Raspe - 19 mars

Nous étions 9 à nous élancer sous une météo mitigée vers ce cap sur la crête qui sépare les vallées d’Orle et de Peyralade.
Après être passés par les cabanes d’Artigue et du Trapech du Milieu (pause banane) nous franchissons la corniche au col du Clot du Lac où le vent glacial et quelques chutes de grésil nous incitent à nous abriter dans la cabane pour y déjeuner. Après le repas, l’apparition du soleil nous permet de poursuivre en crête jusqu’au cap convoité. La neige, tombée la veille, est bonne et ne nous entrave pas dans la progression. Moins d’une heure d’effort et nous sommes au sommet. Brume, soleil, grésil se succèdent et nous accompagneront pendant la descente (toujours aussi rude dans la forêt).
Finale au Piccolo.
J-P

omelette pascale - 16 avr.

Le 16 avril nous étions 16 pour partager la fameuse omelette pascale au gite d'Eylie.
Auparavant, nous sommes montés à la cabane de l'Araing depuis Balacet, pour nous dégourdir les jambes et nous mettre en appétit !
Le ciel bien dégagé nous a permis d'admirer le paysage des montagnes du Couserans enneigées depuis ce balcon imprenable !
550 m de dénivelé et retour par la carrière de marbre d'Ucheintein. A midi nous arrivions au gite où nous attendait un beau feu de cheminée !
Très vite l'ambiance est devenue chaude avec un apéro copieux, des salades, des tartes, des grillades succulentes préparées par notre chef cuisinier Jean-Pierre, fromages, et enfin l'omelette flambée par Nicole, le tout bien arrosé par de nombreuses bouteilles.
La Route de l'Ours c'est avec l'esprit montagne, les bons moments de convivialité !
Merci à tous ceux qui ont contribué à cette ambiance chaleureuse !
À renouveler !
 Nicole Boudigue

mont Fourcat - 19 avr.

Nous étions 7 à 9 h 20 mn au départ du parking des Brougues pour cette balade au mont Fourcat qui allait s'effectuer dans des conditions optimales.
Après avoir traversé une magnifique forêt et être passés à coté d'un orri nous cheminons sur une large croupe qui monte de façon régulière et nous conduit en 2 h 15 mn au mont Fourcat.
Là une vue à 360 degrés nous permet de contempler tous les sommets pyrénéens environnants ainsi que la ville de Foix et le lac de Montbel quasiment à sec.
Après une pause déjeuner bien méritée la descente s'effectue sans problèmes en faisant un crochet par la jolie cabane des Carmilles inconnue de la plupart des participants où nous prenons notre café.
Puis nous retrouvons notre parking à 15 h 30 mn après avoir parcouru 11 km en 4 h de marche effective pour un dénivelé positif de 800 mètres.
Ce fut une très belle journée de printemps.
Didier

pic de Cabanatous - 23 avril

Une joyeuse troupe de 22 randonneurs s’élance du parking de Coumebière en direction du Cabanatous en passant par l’étang de Labant. La météo est clémente et la montée s’effectue tranquillement. Arrivés au col de las Frouzes, vue magnifique sur les étangs de Bassiès. La présence de congères nous interroge sur la suite à donner. Le groupe décide d’effectuer l’ascension jusqu’au pic (à l’exception de l’un d’entre nous) où nous constatons que l’étang de Labate est encore gelé et que toute la zone depuis le port de Bassies est enneigée. Après avoir profité de la vue et de quelques boules de neige (toujours les mêmes !) nous redescendons au pied du pic partager le repas. La pluie annoncée dans l’après-midi et quelques congères un peu difficiles à franchir pour certains nous font revenir sur nos pas. Encore une belle balade cependant qui s’est terminée comme à l’habitude par un pot au restaurant du Garbet où les 22 ont quand même pu tous s’asseoir.
J-P

étang de Gnioure - 3 mai

Nous étions 10 à nous élancer à 9 h du parking de Bouychet en direction de l'étang de GNIOURE.
Le temps était clément même si la température au départ n'était que de 5 degrés Celsius. Peu après le départ, le chemin s'infiltre dans un profond ravin à savoir la gorge de Brouquenat. Nous suivons le torrent qui bondit en cascades dans des ressauts fantastiques pendant une bonne heure. Arrivés au pont de La Peyre, un mauvais balisage nous fait perdre un peu de temps mais nous retrouvons vite notre chemin et attaquons une rude montée qui va nous mener à la crête de Taychou (1998 m) après être passés à côte d'une jolie cabane.
De ce promontoire, la vue est impressionnante sur la vallée de GNIOURE. Nous continuons ensuite vers l'étang que nous atteignons une demi heure plus tard. C'est en surplomb de l'étang dont le niveau d'eau est vraiment très bas pour un début de mois de mai que nous faisons notre pose déjeuner.
Une heure plus tard nous repartons par le même chemin et effectuons la descente sans trop de difficultés malgré quelques pierriers glissants.
La journée se terminera par le pot de l'amitié à Vicdessos où nous avons déjà repris nos habitudes après avoir parcouru 14 Kms en 5 h 45 mn de marche effective pour un dénivelé positif de 1100 mètres.
Didier

pic de Nédé - 7 mai

Ce modeste pic était déjà porté trois fois au programme ; il s’est toujours trouvé une bonne raison pour le reporter à une date ultérieure. Cette fois-ci devait être la bonne. Qu’importe la météo, on va simplement décider qu’il fera moins mauvais que prévu. Nous avions raison : un peu de crachin le matin et quelques éclaircies par le suite.
Le paysage s’est découvert au moment où nous nous sommes assis pour manger. Belle surprise, nous n’avions pas prévu que nous étions sur un balcon révélant un spectaculaire panorama sur les Prés de Paris.
Et le pic de Nédé dans tout ça ? Il sera encore pour une autre fois ; nous étions passés devant sans le voir. C’est au retour seulement qu’il s’est montré fier dans un ciel dégagé pour nous narguer.
Ce n’est que partie remise ; on l’aura la prochaine fois, promis ! … d’ici là et avec un peu de chance votre serviteur aura eu le temps de changer de lunettes.
Belle journée néanmoins et grâce en grande partie à la bonne humeur des participantes.
André