quelques-unes de nos dernières sorties

Bouirex. Cabane de l'Estagnous (1580m) – 12 jan.

La première neige de l’hiver et un temps magnifique nous ont invités à cette randonnée en raquette aussi facile que superbe. Partis de la cote 1079 nous avons suivi la crête est du Bouirex à travers bois et clairière. Jusqu’à la cabane de l’Estagnous, ou nous avons délicieusement paressé près de 2 heures en contemplant, juste sous notre nez, le massif du Valier. Et y en a pour dire que les randos proposées par la Route de l’Ours sont trop dures ! Dommage de n’avoir été que 5 pour un tel régal. Photos ci-jointes dont une de notre président qui a failli disparaître enseveli dans la poudreuse.
Olivier

cabane de Rose – 14 jan.

Dimanche nous avons étrenné la saison raquettes avec une randonnée à la cabane et au Col de Rose.. .
Nous étions 22 pour cette belle journée demi ensoleillée. Bonne neige et point de vue magnifique depuis la cabane où nous avons reconnu les sommets couseranais : mont Beat, mont Saint, Montabonne et Certescans, et bien sûr le Valier.
400 m de dénivelé et 3h H30 de marche pour 10km.
Bonne ambiance pour le pique nique partagé et bonne humeur.
Nous nous sommes quittés à Gam Vert sans le pot traditionnel car tous les cafés étaient fermés !!!
Nicole Boudigue

pic Fonta – 21 jan.

Portés par un enthousiasme communicatif nous occultons la traversée de Laserre (1100m) et venons lécher cette ligne de démarcation salvatrice.
11 randonneurs démarrent alors ; direction le pic Fonta (1984m). Si le foehn de la semaine dernière a précipité la fin de la  saison raquette ; nous espérons encore dans les « crampons ». Nous réalisons rapidement que l’utilisation de ces derniers est superflue.
Ce puissant anticyclone passé par là rend le temps plus doux en altitude que dans la vallée (Patate anticyclonique). Il est conseillé  de se délester.
Arrivés au pic Fonta nous profitons de points de vue dégagés : Le Mont Valier (Mado nous amène au coeur du glacier  d’Arcouzan) ; sites avoisinants (aidée de Nicole) : Port d’Aula, Mont Rouch de Salau, pic de Peyre Mensongére, pic de Soubirou ….
Un gypaète esseulé nous abandonne trop vite.
Le retour s’effectue par le même chemin, toujours dans une délicieuse ambiance.
Nous retiendrons le très bon accueil à l’auberge du Haut Salat à Seix.
Jean.

pic de Barrès – 28 jan.

Accès très facile depuis le col de l’Hers en 2 h avec juste un petit « gendarme » pour se croire en haute montagne. Exceptionnel : sans toucher la neige à cette altitude et fin janvier !
Pour descendre ensuite sur l’étang d’Arbu, avec de la neige qui porte comme au printemps, et quelques pentes bien raides pour s’amuser un peu.
 Olivier

cap de Closos – 30 jan.

1ière journée d’un séjour de 2 j à Salardu. 600m très faciles à monter depuis le  Pla de Béret. Pas de neige sauf sur la fin mais elle porte bien.
Comme toujours dans le val d’Aran le panorama est immense.
Vous trouverez ci joint une carte décrivant l’itinéraire.
Et tout se termine par une joyeuse soirée dans les rues pittoresques de Salardu.
Olivier

Pic de Montpius – 31 jan.

 2ieme journée séjour Salardu.
 Pour faire simple: Je n’avais jamais fait une randonnée d’hiver aussi somptueuse dans les Pyrénées.
 Démarrer de l’entrée du tunnel de Vielha. Après seulement 30 mn de grimpette raide et malaisée, tout le reste se déroule dans un cadre spectaculaire.
Henry Russel, l’ancêtre du Pyrénéisme, qui a parcouru toutes les Pyrénées de 1858 à 1909 a écrit pour le pic Montpius: « A tomber à genoux ou chanter un Hosanna ».
 Pour réaliser cette randonnée voir ci joint carte et Photo.
 Olivier
 

pla de Montcamp – 21 fév.

Nous étions sept à nous élancer du petit village de Gestiès à 9 h 10 mn par une matinée de février plutôt printanière.
La première partie du parcours qui s’effectue en forêt dans un chemin bordé de murets est un peu raide mais sans aucune difficulté technique. Au sortir de la forêt nous longeons le bois de Gamel et découvrons sur le versant opposé le petit village isolé de Lercoul très bien exposé. Nous poursuivons le long de la crête de la Bède et au bout de deux heures nous atteignons le Pla de Montcamp, magnifique et large belvédère d’où une vue à 360° nous permet de découvrir le mont Valier, le pic des Trois Seigneurs, le mont Fourcat, et le Saint Barthélémy.
Après une pause déjeuner bien méritée nous décidons de revenir en boucle par le col de Sasc qui nous ramène par un sentier en balcon non balisé mais bien visible compte tenu des excellentes conditions à l’entrée de la forêt.
Nous regagnons nos voitures une heure plus tard après avoir parcouru environ 11 km 500m pour un dénivelé positif de 940 mètres en 4 heures 15 mn de marche effective. Tout le monde semblait satisfait de la randonnée qui pour la plupart était une découverte.
La journée se termina à Tarascon par le pot de l’amitié.
Didier

18 fév. – cabane du Piéjeau, Tucole de Paillère

Quelle Rando!!!!!
En ce Dimanche 18 Février à une heure bien tardive pour se lancer vers le Pale de Rase, nous remontons
la Bellongue, vallée toujours conciliante avec le  soleil, et venons nous poser au niveau de la
Bouiguane à l’entrée d’Autrech (650 m).
16 randonneurs de la route de l’ours se regroupent devant cette magnifique forêt domaniale de hêtres, refuge des sangliers, des chevreuils, et pour les plus passionnés (cachés derrière les caméras) ces  ours brun déportés de Slovénie. 2006/2009 (toujours lâchés depuis Arbas).
Portés par la guerre des Demoiselles, (cette jacquerie du 19e siècle initiée à Autrech ; conséquence  d’une  décision stupide de Napoléon Ier). Nous franchissons le col de la Croisette, sortons de la forêt pour rattraper la cabane du Piéjau 1453 m, propice à une petite pause.
Prochain rendez vous le col de Consires 1573 m.
Cerise sur le gâteau, la neige rattrapée vers 1680 nous accompagne jusqu’au sommet. 2116m. : le Pale de Rase Supérieur.
Panorama somptueux sur les sommets de l’Ariège et les 3000 du Luchonnais.
Le froid invité nous incite à écourter notre pique nique que nous terminerons adossés au Tucole de Paillères.
Fin de pique nique que nous aurions pu partager en ce lieu avec Mère ours avec ses 2 petits il y a 6 semaines. (info émanant des chasseurs d’Autrech.)
Nous empruntons  une variante depuis le col de Consires qui nous amène à la cabane de Barestet. Dans la descente du bois des Coues, Régine, conduisant le groupe a pressenti, aperçu un ours qui battait retraite. Rien de surprenant lorsque nous savons que dans leur mémoire ancestrale ils se retrouvent très bien dans cette vallée. De plus cette année l’ours n’est pas rentré en hibernation.
Nous sommes ravis de retrouver le premier groupe drivé par Nicole et profiter de petites pérégrinations à Engomer, au café du Coin.
Jean

Nb : Mars 2007 rencontre avec Balou au dessus d’Autrech  dans la descente d’Anos (info OFB) ; Juin 2007 rencontre avec Sarousse, le soir de la finale rugby gagné par le stade toulousain le 28 Juin, au niveau de la première grange.

plateau de Beille – 6 mars

C’est avec une belle journée ensoleillée que les 16 participants de la route de l’ours ont chaussé leurs raquettes sur les pistes du magnifique et vaste Plateau de BEILLE.
De 1800 à 2100 m,nous avons alterné les montées et descentes tantôt en forêts, tantôt et le plus souvent à découvert, notre vue se portant alors sur les sommets de la haute Ariège.
Quelle beauté ! Là, le Soularac, le St Barthélémy, le Tarbésou, en face le Pic du Rulhe, sur la droite, les pics de Cabaillère, la Coume d’Enfer, Ransol, Mil Menut, l’Homme Mort et, le plus haut de ce massif de l’Aston à 2912 m le pic de Serrère : des sommets impressionnants et pas faciles.
La pause pique-nique en crête nous a permis d’apercevoir le lac et le barrage de Laparan.
Nous avons pris notre pot de l’amitié sur la place des Cabannes où chacun a exprimé sa satisfaction d’une journée réussie.
A Bientôt les amis
Monique  

pic de Balmiou – 10 mars

Une journée particulière. Déjà le titre devrait être « randonnée vers le pic de Balmiou ». Nous étions 14 et pour commencer avons manqué le point de départ et emprunté une piste qui peu à peu s’enfonçait dans la neige jusqu’à ce que nous ne pûmes plus avancer. Laissant là les voitures nous avons rejoint une trace GPS que nous avons tenté de suivre sur des pentes plus ou moins raides, en sous bois, de la neige jusqu’aux genoux . Heureux ceux qui avaient choisi de garder les raquettes ! Bref, après avoir perdu la trace plusieurs fois, midi passé et sur une trajectoire qui nous éloignait du but, nous décidons de faire demi tour pour rejoindre un espace ensoleillé afin d’y déjeuner. Ayant repris des forces, nous repartons vers les voitures que nous parvenons à retrouver bien qu’ayant emprunté un autre itinéraire. On peut dire que nous avons pris l’air, au milieu de paysages enneigés magnifiques et que cette sortie, bien qu’incomplète nous a malgré tout ravis.
Final au restaurant le Garbet pour le pot traditionnel.
J-P

 

 

pic du Tarbesou – 17 mars

C’est par un beau matin ensoleillé, qu’à onze nous partons, raquettes aux pieds depuis le parking après la station d’Ascou-Pailhéres, à l’assaut de cette classique hivernale. La neige est bonne malgré une température déjà printanière et la progression se fait assez facilement jusqu’au col de la Coumeille de l’ours où l’on découvre déjà une très belle vue sur les Pyrénées. Puis c’est la montée vers le sommet, assez raide en finale, qui ne sera pas effectuée par tout le monde ….
Les courageux du sommet rejoindront le petit groupe plus bas après avoir déjeuné au soleil.
Le retour se fera tranquillement avec une neige plus molle mais encore praticable. Nous avons fait une dizaine de kilomètres pour un dénivelé d’environ 700m.
Pot traditionnel au gîte de la forge.
JP

le Picou – 24 mars

En ce premier dimanche de printemps nous étions seize (une première pour moi encadrant) au départ de Brassac pour cette boucle qui allait nous mener au Picou puis au rocher de Batail.
La première partie qui s’effectue sur un itinéraire bien tracé en forêt est assez raide mais jamais très
difficile ; elle nous fait passer devant la cabane de l’Homme Mort où la pose banane est la bienvenue.
Nous grimpons ensuite vers le Picou puis en crête vers le rocher de Batail point culminant de la randonnée où nous croisons un groupe de 25 tarasconnais.
Puis c’est la pose déjeuner à 12 heures précises à l’abri du vent face aux Pyrénées enneigées qui se terminera pour certains par la traditionnelle bataille de boules de neige.
Nous entamons ensuite la longue descente sur un sentier moins évident, traversons quelques névés sans trop de difficultés et après être passés tout près de la cabane de la Devèze nous entrons dans le bois de Légrillou puis en traversant le lieu-dit Plajouly, nous tombons sur un autochtone qui voulait nous empêcher de passer devant chez lui mais comme il était seul face à 16 randonneurs il n’a pas trop insisté.
Finalement nous retrouvons nos voitures à 16 h 15 après avoir effectué 19 kms pour un dénivelé positif d’environ 1100 mètres en 6 heures de marche effective.
La journée se terminera par le pot de l’amitié à la Bastide de Sérou.
Didier
 

omelette pascale – 7 avr.

50 mn de montée jusqu’à la cabane de Graouilles en vallée d’Orle. Petite excursion jusqu’à Fontaine Rouge. Puis la fête commence : Grillades offertes par laroutedelours et préparées par le chef Jean-Pierre (Magret de canard et brochettes de légumes svp) et nouvelle tentative pour cramer la cabane en flambant l’omelette. De furieuses rafales de vent n’ont pas entamé la bonne humeur et la joie de tous et toutes. Faut dire que les boissons revigorantes n’ont pas manqué. Un bon millésime pour cette manifestation traditionnelle de notre association puisque au moins la moitié des membres ont participé.
Olivier

tuc de la Pène – 14 avr.

Par cette chaude journée ensoleillée, nous nous sommes retrouvés 13 (2 hommes et 11 femmes) à monter au Tuc de la Pène à partir de Legergé.
Arrivés au char de Moulis, première halte, pour apprécier le vide vertigineux au-dessus de Moulis et Aubert.
Nouvelle halte à l’ère de d’envol des parapentes, où 2 parapentistes attendaient que le vent soit plus porteur.
Au bout d’une heure et demie, nous atteignons le petit sommet à 925 m qui nous offre un beau panorama très aérien : vers le Nord, vue sur St Girons, St Lizier et très loin jusqu’à la Montagne noire, grâce à la bonne visibilité. Au Nord, les sommets couserannais encore bien enneigés : Le Valier, la Mail de Bulard, le Crabère et le secteur de Guzet.
Après un pique nique très convivial et copieux, petite sieste pour digérer avant d’attaquer la descente en direction de Rames.
Nous arrivons aux voitures à 16h après 4 h de marche, 540 m de dénivelé et 7,500 km.
Nous terminons cette journée caniculaire chez Nicole Servant qui nous offre des rafraîchissements et où nous admirons son jardin (azalées, pivoines et viburnum) qui dévoilent toutes leurs splendeurs.
Nicole Boudigue

Mont Béas – 21 avr.

En ce dimanche 21 avril, nous voilà partis à 7 (Mado, Marie, Sylvie, Anne, André, Didier et Thierry) pour le Mont Béas avec un temps magnifique.
C’est une randonnée courte (750 m de dénivelé) hors sentier mais technique nécessitant une bonne expérience de la montagne.
Nous sommes partis à partir de la route qui mène au col d’Agnes. Montée directe, un peu délicate, sur un petit col, ensuite nous avons suivi l’arête, en passant par le Pic de Lanote, qui nous a emmenés jusqu’au sommet du Mont Béas.
Cette traversée d’arête nous a donné une vue incroyable surplombant tant la ville d’Aulus les Bains d’un côté que sur l’étang de Lers de l’autre. Par contre ceci se mérite, un peu d’escalade avec les mains et quelques passages aériens ont parsemé notre périple.
Le sommet nous donne une vue à 360 degrés sur la chaine pyrénéenne en partant du Valier, en passant par les Mont Rouch, Montabone, Certescans …. jusqu’à la Pique Rouge de Bassiès et plus.
Comme dit la chanson bien connue … Que la montagne est belle !!
Après un un repos bien mérité et un pique-nique réparateur au sommet, nous voilà repartis vers la descente en passant par le col Dret.
Comme à la montée, la descente s’est avérée technique en cheminant sur des terrains pentus entre les rhododendrons et les arbustes. Mais l’équipe a su montrer son savoir faire et se sortir de toutes ces difficultés.
Cela dit, nous sommes bien arrivés au col de Dret, qui nous a permis de rejoindre l’étang de Lers.
La remontée aux voitures, hors sentier encore, s’est faite dans la foulée et nous a permis de passer à coté d’un gouffre impressionnant.
Superbe randonnée qui sort des sentiers battus et qui a plu à tous.
Thierry