les sorties de 2023

étang d'Eychelle – 20 août

Ce dimanche 20 Août nous étions 8 à monter à l’étang d’Eychelle.
La montée matinale nous a permis d’arriver à l’étang sans trop souffrir de la chaleur.
Et le bain a fait des adeptes aussi bien chez les jeunes et les adultes.
Après le pique nique et un nouveau rafraîchissement dans le lac, nous sommes montés à la cabane d’Eychelle où paissait un beau troupeau de vaches.
Retour par le même sentier mais la forêt a rendu la descente supportable.
Petite randonnée de 550 m de dénivelé, 4h de marche et 8 km.
Rafraîchissement obligatoire au bistrot de Castillon avant la séparation des participants.
Nicole Boudigue

lacs Bleu et Vert – 3 sept.

Une journée en vue de reconnaître un circuit dans un massif que nous ne visitons que très (trop) rarement : la boucle des lacs Bleu et Vert dans le Luchonnais. Belle et longue balade, un dénivelé cumulé de 1420 m pour une distance de près de 18 km. Rajouter 3h30 de route et voilà une journée bien remplie. Et sans compter un long arrêt de réconfort à Luchon.
À y être nous en avons profité pour faire un petit aller-retour très instructif au refuge du Maupas – approche délicate par mauvaise visibilité. En résumé, c’est un refuge « à l’ancienne » mais quelle vue ! Nous ne le connaissions ni l’un ni l’autre et n’avons pas regretté le détour.
Rajouter quelques passages délicats (euphémisme) entre les deux lacs et on comprend que tous le ingrédients étaient cumulés pour en faire une journée d’exception. Et j’oubliais quelques rencontres agréables de montagnard(e)s de Paris et d’ailleurs.
Merci Gilbert, merci Didier.
André

étang d'Appy par les monts d'Olmes en boucle – 6 sept.

Beau parcours dans le massif de Tabe : 965m de dénivelé cumulé, 3 cols – col de Cadène, col de l’étang d’Appy, col de Girabal –  un sommet – le pic de Girabal, une descente sur le col de Girabal assez acrobatique, deux étangs – Appy et Fage-Belle, et voici une journée bien remplie. Malheureusement la brume de chaleur, qui nous a préservé de l’ardeur du soleil, nous a caché le panorama sur la chaîne. Mais les sommets du massif de Tabe, du Fourcat au St Barthélémy, étaient bien visibles autour de nous. Descente sans problème à la station.
Nous prenons le pot de l’amitié bien mérité sur une place tranquille de Villeneuve-d’Olmes.
Merci André, Didier et Benoist d’avoir partagé cette journée,
Mado.

le pic du Lion – 10 sept.

À chaque rando ses rencontres. À croire que nous avions visé le monde animal : vaches, brebis, un groupe d’une dizaine de biches, des cerfs (savoir qui poursuivait l’autre ?), un autre groupe de vautours fauves perchés en contrebas à une vingtaine de mètres et qui prenaient la pose pour nous, … et ce chien de chasse perdu qui nous a suivi toute la journée et qui a fini complètement exténué et récupéré in extremis sur le le dos de son maître que nous avions pu prévenir ; il ne doit la vie qu’à certaines âmes charitables de la Route de l’Ours.
Notre journée avait commencé par la surprise d’une sente récemment restaurée qui s’arrête contre un rempart de deux rangées de haut grillage. La suite s’avéra beaucoup plus conforme à nos attentes : 16 km de montagnes russes pour un total de 1000 mètres de dénivelée qui finissent par user de nombreux mollets. Fatigue atténuée par la bonne humeur ambiante.
Une pointe de regret pourtant pour certains que le bar de Luchon ait remplacé son personnel …
André

mail de Bulard – 17 sept.

Les prévisions météo sont mitigées en ce dimanche de septembre et nous sommes six à attaquer le troisième sommet du Couserans. Partis à 7h45, l’ascension se déroule sans histoire. Nous croisons un beau troupeau de Mérens qui occupe encore les pâturages de Hounta et poursuivons vers le port d’Orle dont nous apercevons les cimes ensoleillées. Quelques rafales de vent commencent à se faire sentir mais conforment aux prévisions. Nous passons le port sans encombre et nous dirigeons vers la Mail que nous attaquons vers 12h. Une heure et quart plus tard (pour les plus lents !) c’est le sommet. Le temps commence à changer et les rafales de vent se font un peu plus fortes. Aussi, dès après le repas nous décidons de redescendre. Nous voyons le mauvais temps arriver d’Espagne et les premières gouttes nous atteignent un peu avant le port. A peine celui-ci passé que le vent forci, à tel point qu’une rafale à son paroxysme parvient à jeter au sol l’une d’entre nous. Et c’est ainsi qu’il nous a fallu lutter contre de violentes rafales pendant toute la descente jusqu’à la cabane des chasseurs. Après quoi, un calme relatif nous a permis de poursuivre la descente dans des conditions acceptables jusqu’au parking que nous retrouvâmes avec soulagement. Belle randonnée, cependant, de 1850m de dénivelé, 5h30 pour atteindre le sommet, 4h15 pour en redescendre et un peu plus de 20km. Final joyeux au piccolo !
JP

boucle Estagnous – Milouga – 24 sept.

Une météo idéale et la sublime lumière de septembre qui magnifie les paysages ont accompagné notre petit groupe, nous étions cinq, tout au long de ce cette belle boucle. C’est tout d’abord la cascade de Nerech, un peu exsangue à cette époque, puis la cabane rénovée des Caussis pour une pause casse-croûte, passage au refuge des Estagnous, bien fréquenté, avant d’aborder la dernière montée vers le col de Pecouch (2463m). Pause déjeuner bien méritée où l’on admire d’un côté les étangs Rond et Long dans leurs écrins montagneux, et de l’autre cette plaine de lauzes (les Lauzets) que nous allons traverser sous la masse imposante du Valier. La traversée dans ce paysage minéral à nul autre pareil est assez facile car bien balisée, jusqu’à l’apparition de l’étang de Milouga que nous rejoignons après une descente pour le moins vertigineuse. Nous rejoignons un chemin bien connu qui nous ramène, via le Muscadet, au Pla de la Lau. 1600m de dénivelé, 10h pile pour la boucle, une vingtaine de kilomètres, harassés pour certains, mais heureux une fois encore de ce beau périple, surtout après le pot traditionnel.
JP

tuc du Coucou – 27 sept.

Encore une belle journée d’automne, ciel dégagé et température idéale pour randonner. Nous n’étions que quatre pour cette petite randonnée sans difficultés malgré un bon dénivelé (à peine 1000m). En effet, le chemin s’élève en lacets faciles sur la plus grande partie du parcours et nous permet d’atteindre le sommet en moins de trois heures. De là haut, un magnifique point de vue à 360 degrés, met sous nos yeux l’ensemble de la chaîne dans tous ses détails grâce à la pureté de l’air. Un seul « bémol », une nuée de minuscules fourmis volantes vient contrarier l’instant et nous oblige à redescendre au col plus vite que prévu. Le retour se fera en empruntant une partie de la voie Decauville, belle promenade qui nous ramène aux voitures.
Final habituel au Piccolo.
JP

pic de Serre-Haute – 1 oct.

Nous sommes une dizaine pour partir à la conquête de ce haut sommet du Couserans (2713m). Météo idéale, le jour se lève à peine quand nous attaquons la rude montée vers Rouge et le Bentaillou que nous atteignons environ deux heures et demie plus tard. Encore une heure pour arriver à la Serre d’Araing où nous prenons le temps d’admirer le bleu profond de l’étang avant de poursuivre vers le Portillon d’Albe. Au passage, au-dessus de l’étang d’Albe, une petite curieuse, un peu effrontée, nous observe tranquillement. Le sommet sera atteint après un dernier effort vers 13h15. Le temps de nous restaurer et nous prenons le chemin du retour en descendant cette fois directement sur Chichoué, passant auprès de l’ouverture du gouffre Martel à peine signalée. Nous retrouvons au Bentaillou trois d’entre nous qui avaient renoncé au pied du Portillon et nous lançons dans la descente vers Eylie. 1800m de dénivelé, 8h30 de marche effective.
Fin au piccolo !
JP

casacde d'Arcouzan – 1 oct.

Le dimanche 1 octobre nous étions 9 à partir pour une petite randonnée dans la vallée d’Estours.
Par cette chaude journée automnale, quel plaisir de remonter la rivière et de profiter de la fraîcheur de la forêt ! paysage un peu magique d »arbres moussus et chevelus ! A mi-parcours, l’auguste mont Valier, très proche à vol d’oiseau, s’offre à notre vue. Encore quelques kms pour arriver à la clairière où paissent vaches et chevaux.
Un groupe de 14 randonneurs, qui a passé une soirée festive à la cabane d’Aula, nous rejoint jusqu’à la cascade d’Arcousan. Bien sûr, elle ne coule pas à flots mais suffisamment pour profiter de ses embruns pendant le pique nique et la sieste.
À 14h nous repartons pour rejoindre en 1h30 les voitures.
11 km parcourus pour 400m de dénivelé et 4h de marche.
Comme d’habitude, la journée se termine au bar d’Oust par le pot de l’amitié.
Nicole BOUDIGUE

étang de Milouga – 8 oct.

Un « mille mètres » presque routinier que cet étang de Milouga. Les 900 premiers sont avalés pratiquement d’un trait le long du GR10 que l’on quitte en haut de sa partie en lacets pour bifurquer vers le sud en direction du Mont Valier. Un arrêt ravitaillement en eau au passage de la cabane du Taus pour atteindre l’étang en restant quasiment à niveau.
Pause repas sur le bord de l’étang, mais l’eau étant trop fraîche de notre côté pour se baigner, certains regards se sont orientés vers la rive d’en face.
Encore une recharge en eau au retour par la cabane du Taus et cheminement tranquille vers le Pla de la Lau où les véhicules nous attendaient pour nous conduire au Picolo de Castillon pour le ravitaillement final.
André

mont Né – 22 oct.

Selon le bureau des guides de Luchon, le Mont Né littéralement en occitan la « Montagne Noire » est le seigneur de la pastorale et authentique vallée d’Oueil.
Nous étions 15 au départ de la petite station de Bourg d’Oueil pour cette ascension d’un peu plus de 800m plutôt facile. Une pause de regroupement autour du cromlech du port de Pierrefite et repas avec un ciel couvert au somment du pic ; une petite boucle à la descente pour visiter le refuge du Mont Né. Puis le retour par le col de la montée clôt cette petite escapade dans le Luchonnais.
André

pic du Han – 29 oct.

Nous étions neuf au départ du parking des Brougues pour cette randonnée qui allait nous mener jusqu’au pic du HAN dans des conditions rendues difficiles à cause d’un vent relativement violent qui nous accompagnera toute la journée.
Après une pause banane dans la cabane de Lauzatte nous arrivons au sommet du mont Fourcat d’où la vue à 360° est magnifique malgré l’absence de soleil. Nous poursuivons ensuite nôtre balade par les crêtes jusqu’au pic de l’Estagnole où trois d’entre nous s’arrêteront. Le reste de la troupe continuant jusqu’au fameux pic du Han dont la raide montée finale se mérite.
Après une  brève pause déjeuner en redescendant au pied du pic, nous poursuivons notre retour sans trop de difficultés en faisant un détour par la jolie cabane des Carmilles.
Finalement nous retrouvons nos voitures vers 16 h 30 mn après avoir parcouru 18 kms en 6 heures de marche effective pour un dénivelé positif de 1150 mètres.
A l’arrivée tous les participants étaient satisfaits de cette journée.
Didier

cabane de l'Artigou – 8 nov.-2

Cette cabane très peu fréquentée et difficile à trouver, se cache 160m en dessous du Pic de Courbayran. Nous y accédons par un sentier facile, mais presque oublié, au départ de Luentein. À partir du col d’Arrau il reste 350m sous une hêtraie bien dégagée mais parfois un peu raide. Juste à la sortie de la forêt, à 1600m, se trouve la cabane en parfait état, et l’on découvre d’un seul coup un panorama superbe sur la vallée d’Orle, rendu plus somptueux encore par les saupoudrage argenté  de la première neige et l’or automnal des forêts. Descente sans histoire sur Bonac ou nous sommes chaleureusement accueillis  dans le maison de JP.
Olivier

pic de Paumade – 19 nov.

Nous ne pouvons approcher le pic de Paumade sans au préalable traverser cette généreuse et précoce plantation d’houx, saluer cette succession de cabanes de Barguerasses et revenir vers la cabane de l’Aron pour se poser la question : ce Paumade devons-nous le flatter par la gauche ou  par la droite ?
Portés par une décision collégiale nous nous retrouvons au sommet, alignés, respectueux, énumérant cette majestueuse chaîne couserannaise qui ne peut que nous séduire.
Nous sommes conquis  par le vol de vautours fauves qui nous accompagnent durant tout le repas et par la farandole de desserts.
Un seul bémol : mon manque de courage d’amener une bouteille sûrement effrayé devant ces « chevaux de feu ». Mais Anne et André ont assuré comme d’habitude de belle manière.
Nonobstant ce contretemps, notre collègue dont je tairai le nom a largement compensé chez « le Picolo Bar » en s’offrant un vin chaud.
Toujours avec un soleil bienveillant nous démarrons la descente, adossé à la Calabasse à travers un gispet allié.
L’appel du large de Didier déclenche quelques inquiétudes. le voila reparti vers le col d’Herbe Soulette.
Son escapade coutumière revient en ordre rapidement.
Nous laissons au passage la cabane de Loubiere et savons nous retrouver au Picolo.
Je vous remercie à tous ; quelle belle journée et complicité.
Vous m’avez régalé.
Jean

pic de Nédé – 26 nov.

On l’a eu !
Après de multiples inscriptions au programme et même un passage juste à son pied mais sans le voir – caché par la brume – nous l’avons enfin vu depuis son sommet. (Cf. 7 mai dernier)
Joli panorama en vérité surtout suite à la neige fraîche tombée sur la chaîne les jours précédents.
La montée finale de près de 300 mètres très raide et hors sentier dans les fougères fait suite au tranquille GR de Pays emprunté depuis le départ au col de Marty. C’est ainsi que quelques moins vaillants ont préféré se prélasser longuement sur la pelouse du col de Nédé chauffée par un soleil ardent et sans un souffle de vent. Ce qui rajoute d’autant plus de mérite à la douzaine de courageux à être parvenus jusqu’au sommet.
Nous y reviendrons en raquettes !
André

mont Calivert – 3 déc.

La matinée fraîche mais ensoleillée incite les 18 randonneurs à découvrir cette boucle vers le Mont Calivert de 12 km, 450 m de dénivelé et 4h de marche.
A l’arrivée au Mont Calivert, petite pause pour admirer les sommets pyrénéens bien plâtrés.
 Descente par Bergerat et retour au petit jardin à côté de la cathédrale pour le pique nique festif avant notre Assemblée Générale.
 Nicole Boudigue
 

boucle de Sentein – 10 déc.

Un départ ensoleillé pour les 11 participants. Cette boucle nous fait découvrir un itinéraire qui nous permet de profiter de paysages familiers sous un autre angle. Après un peu plus de trois heures de marche, nous atteignons le col des Moréres où nous attendent les amis du groupe parti d’Antras pour un itinéraire plus court. Après le déjeuner et quelques boules de neige, nous entamons la descente de concert pour un pot mérité à Castillon. Environ 15km pour un dénivelé de 1000m.
JP

le Picou par Ganac – 17 déc.

Ce fut par une très belle journée ensoleillée et sans vent que les 10 participants partirent de Ganac par une température négative. Montée et descente en forêt sur le versant nord de la vallée de la Barguillière, parcours très facile sur crête, avec vue sur une grande partie de la chaîne pyrénéenne enneigée, du massif de Tabe devant nous, au Mont Valier derrière nous.
Et bien sûr, pour finir encore plus agréablement cette journée, nous nous arrêtons à La Bastide-de-Sérou pour le pot de convivialité.
Mado.

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