quelques-unes de nos dernières sorties

étang d'Eychelle - 20 août

Ce dimanche 20 Août nous étions 8 à monter à l'étang d'Eychelle.
La montée matinale nous a permis d'arriver à l'étang sans trop souffrir de la chaleur.
Et le bain a fait des adeptes aussi bien chez les jeunes et les adultes.
Après le pique nique et un nouveau rafraîchissement dans le lac, nous sommes montés à la cabane d'Eychelle où paissait un beau troupeau de vaches.
Retour par le même sentier mais la forêt a rendu la descente supportable.
Petite randonnée de 550 m de dénivelé, 4h de marche et 8 km.
Rafraîchissement obligatoire au bistrot de Castillon avant la séparation des participants.
Nicole Boudigue

lacs Bleu et Vert - 3 sept.

Une journée en vue de reconnaître un circuit dans un massif que nous ne visitons que très (trop) rarement : la boucle des lacs Bleu et Vert dans le Luchonnais. Belle et longue balade, un dénivelé cumulé de 1420 m pour une distance de près de 18 km. Rajouter 3h30 de route et voilà une journée bien remplie. Et sans compter un long arrêt de réconfort à Luchon.
À y être nous en avons profité pour faire un petit aller-retour très instructif au refuge du Maupas - approche délicate par mauvaise visibilité. En résumé, c’est un refuge « à l’ancienne » mais quelle vue ! Nous ne le connaissions ni l’un ni l’autre et n’avons pas regretté le détour.
Rajouter quelques passages délicats (euphémisme) entre les deux lacs et on comprend que tous le ingrédients étaient cumulés pour en faire une journée d’exception. Et j’oubliais quelques rencontres agréables de montagnard(e)s de Paris et d’ailleurs.
Merci Gilbert, merci Didier.
André

étang d'Appy par les monts d'Olmes en boucle - 6 sept.

Beau parcours dans le massif de Tabe : 965m de dénivelé cumulé, 3 cols – col de Cadène, col de l’étang d’Appy, col de Girabal -  un sommet – le pic de Girabal, une descente sur le col de Girabal assez acrobatique, deux étangs – Appy et Fage-Belle, et voici une journée bien remplie. Malheureusement la brume de chaleur, qui nous a préservé de l’ardeur du soleil, nous a caché le panorama sur la chaîne. Mais les sommets du massif de Tabe, du Fourcat au St Barthélémy, étaient bien visibles autour de nous. Descente sans problème à la station.
Nous prenons le pot de l’amitié bien mérité sur une place tranquille de Villeneuve-d’Olmes.
Merci André, Didier et Benoist d’avoir partagé cette journée,
Mado.

le pic du Lion - 10 sept.

À chaque rando ses rencontres. À croire que nous avions visé le monde animal : vaches, brebis, un groupe d’une dizaine de biches, des cerfs (savoir qui poursuivait l’autre ?), un autre groupe de vautours fauves perchés en contrebas à une vingtaine de mètres et qui prenaient la pose pour nous, … et ce chien de chasse perdu qui nous a suivi toute la journée et qui a fini complètement exténué et récupéré in extremis sur le le dos de son maître que nous avions pu prévenir ; il ne doit la vie qu’à certaines âmes charitables de la Route de l’Ours.
Notre journée avait commencé par la surprise d’une sente récemment restaurée qui s’arrête contre un rempart de deux rangées de haut grillage. La suite s’avéra beaucoup plus conforme à nos attentes : 16 km de montagnes russes pour un total de 1000 mètres de dénivelée qui finissent par user de nombreux mollets. Fatigue atténuée par la bonne humeur ambiante.
Une pointe de regret pourtant pour certains que le bar de Luchon ait remplacé son personnel …
André

mail de Bulard - 17 sept.

Les prévisions météo sont mitigées en ce dimanche de septembre et nous sommes six à attaquer le troisième sommet du Couserans. Partis à 7h45, l’ascension se déroule sans histoire. Nous croisons un beau troupeau de Mérens qui occupe encore les pâturages de Hounta et poursuivons vers le port d’Orle dont nous apercevons les cimes ensoleillées. Quelques rafales de vent commencent à se faire sentir mais conforment aux prévisions. Nous passons le port sans encombre et nous dirigeons vers la Mail que nous attaquons vers 12h. Une heure et quart plus tard (pour les plus lents !) c’est le sommet. Le temps commence à changer et les rafales de vent se font un peu plus fortes. Aussi, dès après le repas nous décidons de redescendre. Nous voyons le mauvais temps arriver d’Espagne et les premières gouttes nous atteignent un peu avant le port. A peine celui-ci passé que le vent forci, à tel point qu’une rafale à son paroxysme parvient à jeter au sol l’une d’entre nous. Et c’est ainsi qu’il nous a fallu lutter contre de violentes rafales pendant toute la descente jusqu’à la cabane des chasseurs. Après quoi, un calme relatif nous a permis de poursuivre la descente dans des conditions acceptables jusqu’au parking que nous retrouvâmes avec soulagement. Belle randonnée, cependant, de 1850m de dénivelé, 5h30 pour atteindre le sommet, 4h15 pour en redescendre et un peu plus de 20km. Final joyeux au piccolo !
JP

boucle Estagnous - Milouga - 24 sept.

Une météo idéale et la sublime lumière de septembre qui magnifie les paysages ont accompagné notre petit groupe, nous étions cinq, tout au long de ce cette belle boucle. C’est tout d’abord la cascade de Nerech, un peu exsangue à cette époque, puis la cabane rénovée des Caussis pour une pause casse-croûte, passage au refuge des Estagnous, bien fréquenté, avant d’aborder la dernière montée vers le col de Pecouch (2463m). Pause déjeuner bien méritée où l’on admire d’un côté les étangs Rond et Long dans leurs écrins montagneux, et de l’autre cette plaine de lauzes (les Lauzets) que nous allons traverser sous la masse imposante du Valier. La traversée dans ce paysage minéral à nul autre pareil est assez facile car bien balisée, jusqu’à l’apparition de l’étang de Milouga que nous rejoignons après une descente pour le moins vertigineuse. Nous rejoignons un chemin bien connu qui nous ramène, via le Muscadet, au Pla de la Lau. 1600m de dénivelé, 10h pile pour la boucle, une vingtaine de kilomètres, harassés pour certains, mais heureux une fois encore de ce beau périple, surtout après le pot traditionnel.
JP

tuc du Coucou - 27 sept.

Encore une belle journée d’automne, ciel dégagé et température idéale pour randonner. Nous n’étions que quatre pour cette petite randonnée sans difficultés malgré un bon dénivelé (à peine 1000m). En effet, le chemin s’élève en lacets faciles sur la plus grande partie du parcours et nous permet d’atteindre le sommet en moins de trois heures. De là haut, un magnifique point de vue à 360 degrés, met sous nos yeux l’ensemble de la chaîne dans tous ses détails grâce à la pureté de l’air. Un seul « bémol », une nuée de minuscules fourmis volantes vient contrarier l’instant et nous oblige à redescendre au col plus vite que prévu. Le retour se fera en empruntant une partie de la voie Decauville, belle promenade qui nous ramène aux voitures.
Final habituel au Piccolo.
JP

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