quelques-unes de nos dernières sorties

Bouirex. Cabane de l'Estagnous (1580m) – 12 jan.

La première neige de l’hiver et un temps magnifique nous ont invités à cette randonnée en raquette aussi facile que superbe. Partis de la cote 1079 nous avons suivi la crête est du Bouirex à travers bois et clairière. Jusqu’à la cabane de l’Estagnous, ou nous avons délicieusement paressé près de 2 heures en contemplant, juste sous notre nez, le massif du Valier. Et y en a pour dire que les randos proposées par la Route de l’Ours sont trop dures ! Dommage de n’avoir été que 5 pour un tel régal. Photos ci-jointes dont une de notre président qui a failli disparaître enseveli dans la poudreuse.
Olivier

cabane de Rose – 14 jan.

Dimanche nous avons étrenné la saison raquettes avec une randonnée à la cabane et au Col de Rose.. .
Nous étions 22 pour cette belle journée demi ensoleillée. Bonne neige et point de vue magnifique depuis la cabane où nous avons reconnu les sommets couseranais : mont Beat, mont Saint, Montabonne et Certescans, et bien sûr le Valier.
400 m de dénivelé et 3h H30 de marche pour 10km.
Bonne ambiance pour le pique nique partagé et bonne humeur.
Nous nous sommes quittés à Gam Vert sans le pot traditionnel car tous les cafés étaient fermés !!!
Nicole Boudigue

pic Fonta – 21 jan.

Portés par un enthousiasme communicatif nous occultons la traversée de Laserre (1100m) et venons lécher cette ligne de démarcation salvatrice.
11 randonneurs démarrent alors ; direction le pic Fonta (1984m). Si le foehn de la semaine dernière a précipité la fin de la  saison raquette ; nous espérons encore dans les « crampons ». Nous réalisons rapidement que l’utilisation de ces derniers est superflue.
Ce puissant anticyclone passé par là rend le temps plus doux en altitude que dans la vallée (Patate anticyclonique). Il est conseillé  de se délester.
Arrivés au pic Fonta nous profitons de points de vue dégagés : Le Mont Valier (Mado nous amène au coeur du glacier  d’Arcouzan) ; sites avoisinants (aidée de Nicole) : Port d’Aula, Mont Rouch de Salau, pic de Peyre Mensongére, pic de Soubirou ….
Un gypaète esseulé nous abandonne trop vite.
Le retour s’effectue par le même chemin, toujours dans une délicieuse ambiance.
Nous retiendrons le très bon accueil à l’auberge du Haut Salat à Seix.
Jean.

pic de Barrès – 28 jan.

Accès très facile depuis le col de l’Hers en 2 h avec juste un petit « gendarme » pour se croire en haute montagne. Exceptionnel : sans toucher la neige à cette altitude et fin janvier !
Pour descendre ensuite sur l’étang d’Arbu, avec de la neige qui porte comme au printemps, et quelques pentes bien raides pour s’amuser un peu.
 Olivier

cap de Closos – 30 jan.

1ière journée d’un séjour de 2 j à Salardu. 600m très faciles à monter depuis le  Pla de Béret. Pas de neige sauf sur la fin mais elle porte bien.
Comme toujours dans le val d’Aran le panorama est immense.
Vous trouverez ci joint une carte décrivant l’itinéraire.
Et tout se termine par une joyeuse soirée dans les rues pittoresques de Salardu.
Olivier

Pic de Montpius – 31 jan.

 2ieme journée séjour Salardu.
 Pour faire simple: Je n’avais jamais fait une randonnée d’hiver aussi somptueuse dans les Pyrénées.
 Démarrer de l’entrée du tunnel de Vielha. Après seulement 30 mn de grimpette raide et malaisée, tout le reste se déroule dans un cadre spectaculaire.
Henry Russel, l’ancêtre du Pyrénéisme, qui a parcouru toutes les Pyrénées de 1858 à 1909 a écrit pour le pic Montpius: « A tomber à genoux ou chanter un Hosanna ».
 Pour réaliser cette randonnée voir ci joint carte et Photo.
 Olivier
 

pla de Montcamp – 21 fév.

Nous étions sept à nous élancer du petit village de Gestiès à 9 h 10 mn par une matinée de février plutôt printanière.
La première partie du parcours qui s’effectue en forêt dans un chemin bordé de murets est un peu raide mais sans aucune difficulté technique. Au sortir de la forêt nous longeons le bois de Gamel et découvrons sur le versant opposé le petit village isolé de Lercoul très bien exposé. Nous poursuivons le long de la crête de la Bède et au bout de deux heures nous atteignons le Pla de Montcamp, magnifique et large belvédère d’où une vue à 360° nous permet de découvrir le mont Valier, le pic des Trois Seigneurs, le mont Fourcat, et le Saint Barthélémy.
Après une pause déjeuner bien méritée nous décidons de revenir en boucle par le col de Sasc qui nous ramène par un sentier en balcon non balisé mais bien visible compte tenu des excellentes conditions à l’entrée de la forêt.
Nous regagnons nos voitures une heure plus tard après avoir parcouru environ 11 km 500m pour un dénivelé positif de 940 mètres en 4 heures 15 mn de marche effective. Tout le monde semblait satisfait de la randonnée qui pour la plupart était une découverte.
La journée se termina à Tarascon par le pot de l’amitié.
Didier

18 fév. – cabane du Piéjeau, Tucole de Paillère

Quelle Rando!!!!!
En ce Dimanche 18 Février à une heure bien tardive pour se lancer vers le Pale de Rase, nous remontons
la Bellongue, vallée toujours conciliante avec le  soleil, et venons nous poser au niveau de la
Bouiguane à l’entrée d’Autrech (650 m).
16 randonneurs de la route de l’ours se regroupent devant cette magnifique forêt domaniale de hêtres, refuge des sangliers, des chevreuils, et pour les plus passionnés (cachés derrière les caméras) ces  ours brun déportés de Slovénie. 2006/2009 (toujours lâchés depuis Arbas).
Portés par la guerre des Demoiselles, (cette jacquerie du 19e siècle initiée à Autrech ; conséquence  d’une  décision stupide de Napoléon Ier). Nous franchissons le col de la Croisette, sortons de la forêt pour rattraper la cabane du Piéjau 1453 m, propice à une petite pause.
Prochain rendez vous le col de Consires 1573 m.
Cerise sur le gâteau, la neige rattrapée vers 1680 nous accompagne jusqu’au sommet. 2116m. : le Pale de Rase Supérieur.
Panorama somptueux sur les sommets de l’Ariège et les 3000 du Luchonnais.
Le froid invité nous incite à écourter notre pique nique que nous terminerons adossés au Tucole de Paillères.
Fin de pique nique que nous aurions pu partager en ce lieu avec Mère ours avec ses 2 petits il y a 6 semaines. (info émanant des chasseurs d’Autrech.)
Nous empruntons  une variante depuis le col de Consires qui nous amène à la cabane de Barestet. Dans la descente du bois des Coues, Régine, conduisant le groupe a pressenti, aperçu un ours qui battait retraite. Rien de surprenant lorsque nous savons que dans leur mémoire ancestrale ils se retrouvent très bien dans cette vallée. De plus cette année l’ours n’est pas rentré en hibernation.
Nous sommes ravis de retrouver le premier groupe drivé par Nicole et profiter de petites pérégrinations à Engomer, au café du Coin.
Jean

Nb : Mars 2007 rencontre avec Balou au dessus d’Autrech  dans la descente d’Anos (info OFB) ; Juin 2007 rencontre avec Sarousse, le soir de la finale rugby gagné par le stade toulousain le 28 Juin, au niveau de la première grange.

plateau de Beille – 6 mars

C’est avec une belle journée ensoleillée que les 16 participants de la route de l’ours ont chaussé leurs raquettes sur les pistes du magnifique et vaste Plateau de BEILLE.
De 1800 à 2100 m,nous avons alterné les montées et descentes tantôt en forêts, tantôt et le plus souvent à découvert, notre vue se portant alors sur les sommets de la haute Ariège.
Quelle beauté ! Là, le Soularac, le St Barthélémy, le Tarbésou, en face le Pic du Rulhe, sur la droite, les pics de Cabaillère, la Coume d’Enfer, Ransol, Mil Menut, l’Homme Mort et, le plus haut de ce massif de l’Aston à 2912 m le pic de Serrère : des sommets impressionnants et pas faciles.
La pause pique-nique en crête nous a permis d’apercevoir le lac et le barrage de Laparan.
Nous avons pris notre pot de l’amitié sur la place des Cabannes où chacun a exprimé sa satisfaction d’une journée réussie.
A Bientôt les amis
Monique  

pic de Balmiou – 10 mars

Une journée particulière. Déjà le titre devrait être « randonnée vers le pic de Balmiou ». Nous étions 14 et pour commencer avons manqué le point de départ et emprunté une piste qui peu à peu s’enfonçait dans la neige jusqu’à ce que nous ne pûmes plus avancer. Laissant là les voitures nous avons rejoint une trace GPS que nous avons tenté de suivre sur des pentes plus ou moins raides, en sous bois, de la neige jusqu’aux genoux . Heureux ceux qui avaient choisi de garder les raquettes ! Bref, après avoir perdu la trace plusieurs fois, midi passé et sur une trajectoire qui nous éloignait du but, nous décidons de faire demi tour pour rejoindre un espace ensoleillé afin d’y déjeuner. Ayant repris des forces, nous repartons vers les voitures que nous parvenons à retrouver bien qu’ayant emprunté un autre itinéraire. On peut dire que nous avons pris l’air, au milieu de paysages enneigés magnifiques et que cette sortie, bien qu’incomplète nous a malgré tout ravis.
Final au restaurant le Garbet pour le pot traditionnel.
J-P

 

 

pic du Tarbesou – 17 mars

C’est par un beau matin ensoleillé, qu’à onze nous partons, raquettes aux pieds depuis le parking après la station d’Ascou-Pailhéres, à l’assaut de cette classique hivernale. La neige est bonne malgré une température déjà printanière et la progression se fait assez facilement jusqu’au col de la Coumeille de l’ours où l’on découvre déjà une très belle vue sur les Pyrénées. Puis c’est la montée vers le sommet, assez raide en finale, qui ne sera pas effectuée par tout le monde ….
Les courageux du sommet rejoindront le petit groupe plus bas après avoir déjeuné au soleil.
Le retour se fera tranquillement avec une neige plus molle mais encore praticable. Nous avons fait une dizaine de kilomètres pour un dénivelé d’environ 700m.
Pot traditionnel au gîte de la forge.
JP

le Picou – 24 mars

En ce premier dimanche de printemps nous étions seize (une première pour moi encadrant) au départ de Brassac pour cette boucle qui allait nous mener au Picou puis au rocher de Batail.
La première partie qui s’effectue sur un itinéraire bien tracé en forêt est assez raide mais jamais très
difficile ; elle nous fait passer devant la cabane de l’Homme Mort où la pose banane est la bienvenue.
Nous grimpons ensuite vers le Picou puis en crête vers le rocher de Batail point culminant de la randonnée où nous croisons un groupe de 25 tarasconnais.
Puis c’est la pose déjeuner à 12 heures précises à l’abri du vent face aux Pyrénées enneigées qui se terminera pour certains par la traditionnelle bataille de boules de neige.
Nous entamons ensuite la longue descente sur un sentier moins évident, traversons quelques névés sans trop de difficultés et après être passés tout près de la cabane de la Devèze nous entrons dans le bois de Légrillou puis en traversant le lieu-dit Plajouly, nous tombons sur un autochtone qui voulait nous empêcher de passer devant chez lui mais comme il était seul face à 16 randonneurs il n’a pas trop insisté.
Finalement nous retrouvons nos voitures à 16 h 15 après avoir effectué 19 kms pour un dénivelé positif d’environ 1100 mètres en 6 heures de marche effective.
La journée se terminera par le pot de l’amitié à la Bastide de Sérou.
Didier
 

omelette pascale – 7 avr.

50 mn de montée jusqu’à la cabane de Graouilles en vallée d’Orle. Petite excursion jusqu’à Fontaine Rouge. Puis la fête commence : Grillades offertes par laroutedelours et préparées par le chef Jean-Pierre (Magret de canard et brochettes de légumes svp) et nouvelle tentative pour cramer la cabane en flambant l’omelette. De furieuses rafales de vent n’ont pas entamé la bonne humeur et la joie de tous et toutes. Faut dire que les boissons revigorantes n’ont pas manqué. Un bon millésime pour cette manifestation traditionnelle de notre association puisque au moins la moitié des membres ont participé.
Olivier

tuc de la Pène – 14 avr.

Par cette chaude journée ensoleillée, nous nous sommes retrouvés 13 (2 hommes et 11 femmes) à monter au Tuc de la Pène à partir de Legergé.
Arrivés au char de Moulis, première halte, pour apprécier le vide vertigineux au-dessus de Moulis et Aubert.
Nouvelle halte à l’ère de d’envol des parapentes, où 2 parapentistes attendaient que le vent soit plus porteur.
Au bout d’une heure et demie, nous atteignons le petit sommet à 925 m qui nous offre un beau panorama très aérien : vers le Nord, vue sur St Girons, St Lizier et très loin jusqu’à la Montagne noire, grâce à la bonne visibilité. Au Nord, les sommets couserannais encore bien enneigés : Le Valier, la Mail de Bulard, le Crabère et le secteur de Guzet.
Après un pique nique très convivial et copieux, petite sieste pour digérer avant d’attaquer la descente en direction de Rames.
Nous arrivons aux voitures à 16h après 4 h de marche, 540 m de dénivelé et 7,500 km.
Nous terminons cette journée caniculaire chez Nicole Servant qui nous offre des rafraîchissements et où nous admirons son jardin (azalées, pivoines et viburnum) qui dévoilent toutes leurs splendeurs.
Nicole Boudigue

Mont Béas – 21 avr.

En ce dimanche 21 avril, nous voilà partis à 7 (Mado, Marie, Sylvie, Anne, André, Didier et Thierry) pour le Mont Béas avec un temps magnifique.
C’est une randonnée courte (750 m de dénivelé) hors sentier mais technique nécessitant une bonne expérience de la montagne.
Nous sommes partis à partir de la route qui mène au col d’Agnes. Montée directe, un peu délicate, sur un petit col, ensuite nous avons suivi l’arête, en passant par le Pic de Lanote, qui nous a emmenés jusqu’au sommet du Mont Béas.
Cette traversée d’arête nous a donné une vue incroyable surplombant tant la ville d’Aulus les Bains d’un côté que sur l’étang de Lers de l’autre. Par contre ceci se mérite, un peu d’escalade avec les mains et quelques passages aériens ont parsemé notre périple.
Le sommet nous donne une vue à 360 degrés sur la chaine pyrénéenne en partant du Valier, en passant par les Mont Rouch, Montabone, Certescans …. jusqu’à la Pique Rouge de Bassiès et plus.
Comme dit la chanson bien connue … Que la montagne est belle !!
Après un un repos bien mérité et un pique-nique réparateur au sommet, nous voilà repartis vers la descente en passant par le col Dret.
Comme à la montée, la descente s’est avérée technique en cheminant sur des terrains pentus entre les rhododendrons et les arbustes. Mais l’équipe a su montrer son savoir faire et se sortir de toutes ces difficultés.
Cela dit, nous sommes bien arrivés au col de Dret, qui nous a permis de rejoindre l’étang de Lers.
La remontée aux voitures, hors sentier encore, s’est faite dans la foulée et nous a permis de passer à coté d’un gouffre impressionnant.
Superbe randonnée qui sort des sentiers battus et qui a plu à tous.
Thierry

autour de Contrazy – 19 mai

Nous étions 7 pour partager cette petite randonnée le sentier du Barthet de 3 heures avec un dénivelé de 300 m et 8,5 km au départ de la mairie de Contrazy .
Parties à 9h15 nous avons bénéficié de belles éclaircies lorsque nous sommes arrivées sur le plateau. Superbes vues sur les montagnes un peu bouchées et sur le Piémont pyrénéen. Nous avons traversé plusieurs hameaux aux belles maisons en pierre bien entretenues.
L’arrivée au village de Contrazy bien fleuri vers 12 h 15 nous a permis d’éviter la pluie.
Nicole Boudigue

étang Bleu, cirque d'Embans – 19 mai

Nous étions 13 au départ du parking du pla de Ressec pour démarrer cette randonnée par une matinée plutôt ensoleillée qui allait nous mener à l’étang Bleu via le cirque d’Embans.
Après un premier kilomètre relativement plat nous traversons le bois de Cirier par une rude montée en lacets pour rejoindre le cirque d’Embans où la pose banane s’impose. Ensuite une montée raide mais sans difficultés techniques nous amène en surplomb de l’étang Long puis jusqu’à l’étang Bleu.
Sept d’entre nous poursuivent jusqu’au col de la Couillate par un couloir enneigé sans trop de problèmes.
Après la pose déjeuner au bord de l’étang nous ne nous attardons pas car le ciel devient menaçant.
Nous effectuons la descente sans difficultés notoires et retrouvons nos voitures à 14 h 45 après avoir reçu quelques grêlons sur la tête dans le dernier kilomètre.
La journée se termine par l’habituel pot de l’amitié à Tarascon.
Didier

pic de Pièle de Mil – 26 mai

C’est un parcours inédit qui, depuis Frechendech nous a conduit à ce pic situé à 2138 m via la chapelle de l’Isard, la cabane de Traumas , la cabane des Pugues et le col d’Auarde.
Nous étions 11 à partir avec une météo beaucoup plus clémente qu’annoncé ce qui nous a permis de profiter pleinement des magnifiques vues sur la chaîne du Valier puis, le sommet atteint, sur le Maubermé, le Serre Haute, le Crabere et jusqu’aux sommets espagnols.
C’est une belle randonnée de 21km, avec une montée un peu rude au delà de la cabane des Pugues jusqu’au col d’Auarde et un dernier effort pour atteindre le sommet, et la récompense (compter environ 4h pour 1300 m de dénivelé).
Retour par le même chemin, et le pot habituel à Castillon où nous avons rencontré les premiers troupeaux qui anticipaient leur transhumance.
JP

étang d'Araing – 2 juin

En ce dimanche annoncé maussade, nous décidons de braver la météo pour aller déjeuner au refuge à l’occasion de son ouverture. C’est donc une joyeuse troupe de 16 randonneu(ses)rs qui s’élance pour 1100 m de dénivelé sous un ciel finalement très clément. Le refuge est à nous et nous profitons d’un repas montagnard en toute convivialité comme toujours. Le retour va s’effectuer avec un petit détour par la chapelle de l’Isard, ce qui agrémente la descente.
La randonnée s’achève donc au parking de Frechendech après environ 19 km et 6h de marche effective. Passage obligé par le piccolo sur la route du retour.
JP

Soularec St Barthélémy – 16 juin

Nous étions 15 en ce dimanche ensoleillé de juin au départ du parking de la Lauze pour démarrer cette randonnée qui allait nous faire découvrir les deux principaux sommets du massif de TABE à savoir le Soularac et le ST Barthélémy.
La première partie du parcours qui nous fait traverser des champs de genêts puis passer à coté de l’étang Béseil est plutôt tranquille. Au bout d’un peu plus d’une heure nous atteignons le col de Teycherou d’où l’on aperçoit en dessous l’étang Tort et juste un peu plus loin la carrière de talc de Luzenac et face à nous se dresse déjà le pic de Soularac et un peu plus loin le St Barthélémy.
À partir de là le cheminement devient un peu plus ardu sur un terrain très minéral et il faut parfois s’aider des mains pour franchir les obstacles, mais tout le monde parviendra au point culminant de la rando à savoir le pic Soularac (2368 m). De ce belvédère le panorama est grandiose de tous les cotés avec des étangs en dessous sur notre droite, au loin le château de Montségur et côté opposé toute la chaîne pyrénéenne.
Au bout de 3 heures de marche nous atteignons le St Barthélémy d’où la vue nous fait découvrir en plus la station des monts d’Olmes chère à Perrine LAFFONT, où nous faisons la pose déjeuner bien méritée.
Vers 14 heures nous attaquons la longue descente parfois caillouteuse du Sarrat de Bertenac qui nous conduit jusqu’au ruisseau du Gai. Il ne reste plus alors qu’à rejoindre la piste forestière qui nous ramène aux voitures après avoir parcouru 11,2 kms pour 1000 mètres de dénivelé en un peu plus de 5 heures de marche effective.
À l’arrivée tous les participants étaient satisfaits de cette balade qui pour la plupart était une découverte.
La journée se terminera par le traditionnel pot de l’amitié à la maison LACUBE aux Cabannes.
Didier

étang du Garbet – 16 juin

Nous étions 8 pour redécouvrir cette belle vallée du Garbet sous un soleil radieux. Après 3 h de montée nous arrivons au bord du lac. Quelques randonneurs et pêcheurs profitent aussi de ce beau site.
Après un pique nique très convivial, nous nous reposons jusqu’à ce que Gilbert nous alerte pour admirer une marmotte. En fait c’est un OURS, entre 2 à 3 ans, de couleur beige, qui va traverser l’autre versant du lac et nous le voyons évoluer pendant 15 mn. Quel bonheur !
À 18 h nous retrouvons nos voitures absolument enchantés par notre rencontre inattendue.
5h30 de marche et 12 km pour un petit dénivelé sur un sentier caillouteux.
Nicole Boudigue

Étang de Balbonne, col de l’Egue, étang de Rabassole – 19 juin

Ce fut une très belle journée qui s’est déroulée au coeur du Donezan. Paysages rappelant, pour l’une l’Andorre, pour l’autre les Encantats avec ses bosquets de pins et ses nombreux lacs. Une rando pas si facile, malgré les 760 m de dénivelé. Passage un peu périlleux le long de la berge de l’étang de Balbonne, puis une montée hors sentier à la Couillade des Bourriques. Une belle traversée au-dessus de la vallée de l’Oriège où quelques passages de brume nous cachaient la dent d’Orlu. Passage du col de l’Egue à 2121m. Pique-nique, puis descente d’abord sur l’étang Bleu avec le Tarbésou en face de nous, puis sur l’étang de Rabassoles. Retour par la forêt au parking «la Restanque» sur la commune de Mijanès. Pot bien mérité au gîte des forges d’Ascou. Un petit soucis sur la route du retour où la Guarda Civil, avec l’aide d’une équipe de sécurité cynophile, contrôlait les voitures à l’entrée de Tarascon et de ce fait provoquait un bel embouteillage.
Mado.

tour du pic de Nérassol – 23 Juin

Suggéré par Mado et Benoist, cette classique nous attend aux confins de l’Ariège, le long de la frontière andorrane.
Arrivée à l’Hospitalet, une pluie tenace nous amène à contrarier notre programme et avancer le traditionnel pot de récompense et de l’amitié. Cette pluie transformée en crachin n’altère en rien notre détermination et nous engageons alors la rando dans le sens inverse des aiguilles d’une montre « comme pour remonter le temps ».
Superbe randonnée. Au  fil de l’eau, dans un cadre sauvage et champêtre nous remontons le val d’Arques.
Nour profitons des premiers occupants saisonniers des lieux, mère Gasconne nonchalante et ses petits défilent sous nos yeux ; une autre réclame sa progéniture.
Véritable havre de paix, l’étang de Pédoures et celui de Siscar (que nous découvrirons plus tard.) constituent sûrement 2 haltes incontournables pour profiter d’un moment de détente !!!!!!
Point de passage entre les 2 vallées ; la Porteille de Siscar, (Halte oblige !) nous offre un magnifique point de vue sur les étangs en contrebas.
Abandonnons une  moment le tour de Nérassol pour s’élever en couple, hors sentier en direction  du pic de Nérassol qui nous rapproche des sommets Catalans.
Une âme bucolique et  très courageuse à son retour nous fait encore partager sa rencontre avec l’ours du Garbet croisé la semaine précédente.
Nous entamons maintenant la descente de la vallée du Siscar plus étroite et plus pure et regagnons les voitures sous un soleil généreux.
Jean

cascade d'Ars – 17 juil

Nous étions 8 à profiter de cette belle journée aux températures douces. Partis à 9h15 nous arrivons à la Cascade d’Ars à 10h45 toujours spectaculaire même si elle n’est pas dans son plus grand débit.
Petite collation avant de reprendre vers le haut de la cascade en 45 mn. Beaucoup d’eau sur le sentier et nous redoublons de concentration. Il nous faudra encore une bonne heure pour arriver au col et à la cabane où nous mangeons notre pique nique.
Nous amorçons la descente à 14h45 et nous apprécions la fraîcheur de la forêt. Terrain un peu glissant qui demande un peu de vigilance.
15 km et 900m dénivelé cumulé et 5 h de marche.
Nous terminons cette belle journée par le pot de l’amitié à Aulus.
Nicole Boudigue

l'Entecade par le Portillon – 18 juil.

Nous étions 5 à affronter le soleil et la grosse chaleur de cette mi-juillet. Mais notre peine a eu sa récompense grâce a une jolie randonnée agrémentée d’un panorama magnifique :
De gauche à droite : Le massif de la Maladetta, le pic de la Mine, le pic de la Pique, le sauvegarde et, très visible, le chemin de montée au port de vénasque. Plus à gauche, les sommets du Luchonnais avec le pic de Port Vieil, le Maupas, le grand Queyrat et le petit Queyrat à côté.
Après une matinée à monter et descendre continuellement en ligne de crête et à compter les bornes frontalières, nous pique-niquons sous l’Antécade à l’abri des fourmis volantes qui ont colonisé le sommet. Peu de randonneurs dans le secteur, mais chevaux, bovins et moutons occupent le terrain.
L’après-midi fut plus tranquille. Après la descente de l’Antécade, nous empruntons la piste menant à la cabane de Campsaure. Nous y croisons des vététistes. De suite après la cabane et un ravitaillement d’eau à un abreuvoir nous remontons un sentier qui nous ramène au col de Barège. 10 minutes de descente et nous retrouvons la voiture garée sur la piste sous la cabana deth cap deth bosc.
Pot à Bossost où nous savourons des bières bien rafraîchissantes et bien méritées.
Mado.

étangs de Peyregrand, Redouneilles, Neych – 28 juil

Nous étions 11 au départ du parking du Bouychet pour démarrer cette belle randonnée qui allait nous faire découvrir ce qui se fait de mieux dans la vallée de Siguer.
Après avoir remonté le torrent de Brouquenat puis contourné une zone humide nous passons à la cabane de Brouquenat où la pose banane s’impose. Une heure plus tard nous arrivons à l’étang de Peyregrand que la plupart des participants connaissaient déjà.
Nous attaquons ensuite une rude montée qui nous conduit en 40 mn à l’étang de Redouneilles des vaches où nous décidons de pique niquer les pieds dans l’eau. Ensuite nous repartons à l’assaut d’un col sans nom (2339 m) d’où une vue à 360 degrés s’offre à nous, puis entamons la descente qui nous conduit sans trop de difficultés à la cabane de Neych où nous pouvons remplir nos gourdes. Nous rejoignons ensuite le sentier descendant de l’étang de Gnioure, bien balisé qui nous ramène au pont de la Peyre et ensuite à nos voitures à 16 h 30 mn.
Ce fut une très belle randonnée qui s’est déroulée dans d’excellentes conditions. Finalement nous avons parcouru 17,50 kms pour un dénivelé positif cumulé de 1400 mètres en 7 h de marche effective et avons découvert 5 ou 6 étangs et 3 cabanes de berger.
La journée se termina par le pot de l’amitié à Tarascon.
Didier

étang d'Eychelle – 28 juil.

Partis à 9 depuis le col de la Core, nous avons un peu souffert de la chaleur humide mais après 2h30 de montée, quel bonheur de profiter de la fraîcheur de l’étang d’Eychelle !!!.
Après un pique nique convivial, nous sommes montés à la cabane pour prendre de l’eau fraîche, malgré les patous menaçants qui gardaient bien le troupeau !
Après une variante vers le cabane d’Eyliet nous avons rejoint les voitures vers 17h15.
Belle journée avec 12km5, 850 M dénivelé cumulé et 5 h marche.
Boisson rafraîchissante obligatoire à Castillon avant de nous quitter, satisfaits de notre journée.
Nicole Boudigue

crête des Isards – 31 juil.

Une très belle journée, chaude mais ventée en altitude. 7 randonneurs pour parcourir les crêtes de part et d’autre du vallon du Rieutort au dessus du lac de Laparan. À commencer par la crête des Isards après avoir franchi le col de la Didorte à 2093m, puis le pic de Belh à 2386m. Vue sur le pic de Rulhe et tous les sommets environnants. Nous passons aux cols de Terre-Nègre et du Rieutort. Après le pique-nique face au vallon du Rieutort, nous abordons les crêtes coté lac de Laparan  et arrivons au pic de Pradel à 2378m. Descente tranquille au début … et c’est là que l’incident malheureux arrive : mauvaise chute de Véronique qui se plaint d’une douleur à la malléole. Après quelques essais de marche douloureux nous nous rendons compte qu’elle ne pourra pas redescendre les quelques 700m de dénivelé qu’il reste à faire. Quelques difficultés pour joindre les secours de montagne, pas de réseau. Enfin le contact est établi et l’hélicoptère vient assez rapidement.
 Après une descente rapide aux voitures et un pot de réconfort aux Cabanes, nous allons aux urgences à Foix retrouver Véronique. Diagnostique : entorse sérieuse et fracture de la malléole !
Véro, nous te souhaitons bon rétablissement et un retour rapide parmi nous.
Mado.

la Pujada – 4 août

Partis à 7 du parking à 7h30 sous une température très clémente, au bout d’une heure nous atteignons la cabane des bergers où sont parqués 2000 moutons et où nous sommes accueillis par les sonnailles des 50 vaches. Une colonne de marcheurs nous précède et nous suit. La montée vers le port est progressive grâce à de nombreux lacets. Finalement nous arrivons au port après 2h45 de marche. Nous retrouvons Gilbert et Anne partis plus tôt. Les Catalans sont déjà là et très vite une dizaine de musiciens mettent une bonne ambiance et nous incitent à rejoindre le groupe de danseurs. Après les discours pour célébrer l’amitié franco catalane, nous sommes invités à partager le fromage de Seix et le vin catalan. La température est idéale.
À 13h30 nous entamons la descente pour arriver aux voitures à 15h45.
Les participants qui ont découvert la Pujada sont ravis.
1000 m dénivelé, 12,5 km et 5h de marche.
Notre belle journée se termine par le pot de l’amitié à Seix.
Nicole Boudigue

port de la Pale de Clauère – 4 août

Très beau temps pour cette belle mais exigeante randonnée. Nous étions 8 à partir du Pla de la Lau, direction Peyralade et le port de Barlonguère que nous avons atteint vers midi. Comptant ravitailler en eau à la cabane de Barlonguère, nous fûmes surpris de voir une indication d’eau non potable. Heureusement, l’une d’entre nous avait une pompe filtrante, ce qui nous a bien soulagés. La descente sur l’étang Long, agrémentée d’une vue magnifique sur le Valier, fut assez aisée. Pause fraîcheur, baignade (pour certains) et repas nous permirent de récupérer des efforts fournis. Cependant, après ce temps de repos, la motivation pour la Pale de la Clauère était un peu retombée (à cause de la chaleur aussi), et nous décidâmes de redescendre sur l’étang Rond où, après une ultime baignade, nous poursuivîmes en retrouvant le chemin du Valier.
Et c’est après avoir parcouru une bonne vingtaine de km et environ 1500 m de dénivelé que nous nous sommes séparés sur le traditionnel pot d’au revoir à la maison du Valier.
JP

« de 2 »