Finalement nous étions 12 à partir du col de la Core vers l’étang d’Eychelle par cette journée très chaude.
Quel plaisir d’arriver au lac vers midi pour un bain régénérant après cette montée sous la chaleur.
Pour certaines plusieurs bains tandis que d’autres ont prospecté jusqu’à la cabane d’Eychelle.
Vers 14h30 descente en faisant une petite boucle vers le col d’Aouedole.
Retour aux voitures à 17h après 12 à 13 km et 650m de dénivelé.
Le verre rafraîchissant de l’amitié a été apprécié à Castillon.
Nicole BOUDIGUE

Nous étions 5 participants pour cette randonnée dans le Luchonnais. Malgré un parking déjà plein à 9 heures du matin, nous étions dans les premiers sur les pentes douces de l’Entecada. Grosse chaleur, même en forêt. Quelques troupeaux de chevaux nous surveillent de loin. Découvrons assez vite une vue magnifique sur tout le massif de la Maladeta et sur les 3000 du Luchonnais : le Perdiguère, le Maupas, le Lézat et les deux Quayrat, …
Puis au sommet, au nord, voyons le Crabère, Serre-Haute, le Maubermé, …
Dans la descente une légère brise nous fait du bien. Passons à côté de quelques lacs asséchés.
Rafraîchissement bien mérité au gîte de l’hospice de France et retour sans problème à St Girons où nous retrouvons la chaleur étouffante.
Mado

jour1 :
Nous étions 10 au départ de St-Girons, en deux voitures. À 9H30, départ effectif pour le refuge d’Amitges. Beau temps. Les premières longueurs sont aisées. Nous longeons plusieurs lacs. Après le dernier, le lac Obego, les choses se corsent et la montée jusqu’au port de Ratera, 2572m, est plutôt raide. Nous y pique-niquons pendant que 2 d’entre nous ascensionnent le pic de Ratera à 2863m. Descente tranquille jusqu’au refuge d’Amitges où nous retrouvons Françoise et une de ses amies.

jour 2 :
Départ matinal à 7H50 !, objectif entre autre, le port de Ratera et le très sympathique refuge de Saboredo. Nous y faisons une pause. Rejoignons ensuite la piste du départ par le col de Sandrosa 2451m. descente raide mais balisée, demandant de l’attention. En arrivant sur la piste nous interceptons un taxi collectif qui nous ramène aux voitures. Pot de l’amitié sur place avec Nicole et Monique qui ,elles, sont redescendues par le chemin de la veille. Sur les deux jours nous aurons longé une bonne dizaine de lacs.
Benoist

La météo, quelque peu incertaine, ne nous a pas empêché d’attaquer cette longue randonnée. Bien nous en a pris car le soleil devait nous accompagner presque toute la journée. Nous étions huit à partir et c’est par la vallée de Peyralade que nous entamons le périple. Très belle ascension jusqu’au port de Barlonguére où des brumes commencent à monter qui nous incitent à descendre jusqu’à l’étang long pour y déjeuner. Un site extraordinaire que cet étang aux eaux couleurs du ciel et des montagnes qui s’y reflètent. Puis nous entamons la descente vers l’étang Rond, descente toujours spectaculaire sous la masse imposante du Valier. Arrivés à la cabane des Caussis, un léger grondement nous fait presser le pas et c’est le retour au parking après 1400m de dénivelé, une vingtaine de kilomètres et une dizaine d’heures de randonnée. Un super goûter nous à réunis chez l’une d’entre nous avant la séparation.
JP

Nous étions 4 pour cette ascension du tuc de Rosari dans le val d’Aran, au-dessus de Baqueira. Dans la montée nous passons de lacs en lacs plus ou moins importants et remplis d’eau. Par ce temps de grosse chaleur les Espagnols sont nombreux à venir s’y rafraîchir. La montée est régulière et se passe sans difficulté. La pente se redresse sous le col et nous arrivons au sommet. Vue à 360 degrés, sur les faces sud des sommets du Couserans à la vue sur le massif de la Maladeta. Agréable journée, nous avons apprécié la fraîcheur au sommet. Pot de l’amitié à Bossost comme de coutume.
Mado.

Nous étions 7 au départ de ce sommet à ne pas prendre a la légère : 16km et un sentier chaotique dans sa partie finale. Nous démarrons dans la brume,  mais 1 heure après au col des Fouzès le soleil apparaît, le sentier est bien marqué, mais que le sommet est loin … un petit vent nous rafraîchit, ce dernier est atteint au bout de 4h08 d’efforts, nous n’y restons pas car la brume revient et par sécurité nous redescendons de 300m pour piqueniquer. Toujours pour raison de brume nous ne ferons pas la boucle par le port de Saleix et reviendrons prudemment sur nos pas.
Pot de l’amitié a Ercé a l’ombre des parasols , indien ,monaco, et j’en passe ….
Benoist

10 en ce dimanche, au petit matin, pour attaquer les 2880m de ce géant du Couserans. Ascension longue mais sans grosses difficultés qui nous a vus, après la pause banane à la cabane d’Urets, atteindre le port d’Urets à 11 h (4h20 après le départ). Quelques minutes de repos et nous attaquons le pic. Après une vingtaine de minutes de plat, ou presque !, la montée rude dans des pierriers, guidés par les cairns, et au bout d’une heure vingt d’efforts (y en a qui ont mis moins !!!) c’est le graal, le sommet, sous un beau soleil avec un paysage magnifique, orné de lambeaux de brume. Le plus haut sommet du Couserans nous offre une vue à 360 degrés sur une bonne partie des Pyrénées. L’arrivée improbable de deux espagnols avec leur vélo (oui !) nous distrait un moment et après la pause déjeuner, nous redescendons vers le port où nous attend le brouillard. Retour tranquille vers le parking que nous atteignons sans encombre vers 17h45.
Très belle randonnée d’environ 24km, 1950 m de dénivelé pour une amplitude horaire de 11h. Et tout ça dans la joie et la bonne humeur !
Pot traditionnel à CASTILLON.
J-P

Nous démarrons à 9 h du virage sous le col de la Core par une température très agréable.
Nous traversons le bois de l’Aube pour arriver au bout de 35 mn à la cabane de Luzurs où une fromagerie de fromages de chèvre va être homologuée. Un beau troupeau de chèvres se prélasse près de la cabane.
Encore 45 mn  quasiment à l’ombre de la forêt pour atteindre après une petite montée la cabane de Cazabède où nous prenons un petit en-cas et profitons du robinet. Un troupeau de vaches paît sous la cabane qui semble déserte.
Une petite montée encore vers le col de Soularil. Puis dans la descente vers la cabane de la Subera nous rencontrons encore des troupeaux de vaches.
A 11h30 la cabane se découvre en plein soleil. Nous cherchons un peu d’ombre pour le pique nique et certaines s’abritent dans la cabane très propre.
Un éleveur arrive et attend Gilles, le berger pour partager le repas.
Une petite sieste pour récupérer et après une belle discussion avec Gilles à 14h qui nous confie ses difficultés entre la gestion de la sécheresse et de l’ours, nous prenons le chemin du retour.
Nous rencontrons pas mal de randonneurs dans les deux sens.
Randonnée de 5 h, 14 km et 700 m de dénivelé.
Evidemment la journée se termine par le pot de l’amitié à Castillon.
Nicole BOUDIGUE

Nous étions 8 au départ de cette superbe rando ensoleillée avec juste un petit vent pour nous rafraîchir, le sentier par moment est un peu fantasque : balises absentes ou non visibles mais au terme de 4 h d’efforts nous atteignons le refuge a 2445m. Le cadre est magnifique, et nous décidons de pique-niquer face au lac du Fourcat. Le retour  étant long nous ne traînons pas et nous entamons la boucle par une remontée de 120m, bientôt se découvrent les étangs de Petsiguer dans leur écrin de verdure, puis nous rejoignons le barrage d’Izourt ou nous retrouvons notre sentier du matin, parking vers 17h30 ; bravo aux 5 « pieds durs » qui ont enchaînés le Mauberm et cette rude  boucle … ppot de l’amitié a vicdessos et séparation.
Benoist

Nous étions 10  ( 4 hommes et 6 femmes  ) au Départ du col de Menté à 9h en direction de la cabane de l’Escalette.
Petite grimpette qui nous mène à la Cabane en 30 mn sous un ciel lumineux et température très agréable.
Après la cabane la pente devient plus raide pour atteindre le premier col sous le pic de l’Escalette où nous discutons avec le berger qui surveille un beau troupeau de moutons.
Encore une petite montée jusqu’à 1800m avant de descendre la pente rocheuse et escarpée qui va nous conduire au pas de l’Ane. Beaucoup de précaution car la terre humide est glissante. Au pas de l’Ane à 11h petite collation avant d’attaquer la montée vers le Cagire à 1972 m que nous atteignons à midi après 3h de marche.
Pas mal de randonneurs sur ce pic qui donne une vue à 360° pour repérer les pics couserannais : le Crabère, la Calebasse, le Maubermé et même le Valier.
Le pic du Midi de Bigorre et même la Maladetta.
Après un pique nique convivial en dessous du sommet, à 14h nous amorçons la descente jusqu’au pas de l’Ane. Nous descendons vers la cabane de Larrios à travers de beaux pâturages. La fontaine fraîche nous permet de nous désaltérer.
Nous arriverons aux voitures à 16h 20.
Rando de 850 m de dénivelé cumulé, 5h 30 de marche et 12km.
La rando se termine par l’habituel pot de l’amitié à Saint Lary.
Nicole BOUDIGUE

16 au départ de ce pic devenu traditionnel une fois tous les 2 ou 3 ans. C’était sans compter qu’il a fallu démarrer 400 m plus bas à cause des travaux suite aux éboulements sur la piste d’accès. Les derniers orages ont laissé des traces. Un berger croisé dans la montée nous a prévenu qu’il y avait 5 ours dans le massif. Sûr qu’en nous voyant arriver ils ne se sont pas montrés – pas fous !
Départ donc à La Serre. Premiers abandons à l’étang d’Areau, les suivants à l’étang de Prat Mataou et enfin les derniers au col d’avant la crête parce qu’il se faisait tard – la belle excuse ! Sur les 4 de l’étang de Prat Mataou, deux d’entre eux sont montés au port d’Aula à la rencontre du groupe des sportifs de haut niveau (2336 m).
Retour de la rando à la carte avec l’arrêt quasi obligatoire sur la place de Seix ; la seule étape conforme au programme.
André

Nous étions 9 randonneurs en ce frais matin pour cette sortie.
Partant de la chapelle du calvaire de Galey cette ascension se déroule en 3 parties.
Tout d’abord une large piste qui permet de continuer des conversations sans se rendre compte que l’on monte.
Ensuite un beau sentier dans une jolie forêt de hêtres, échelonné de panneaux affichant des photos de chiens gardiens de troupeaux.
Enfin une prairie à moutons qui nous emmène au sommet.
De là nous avons une vue sur la plaine de Toulouse et différents sommets dont le Cagire et le Valier.
Durant le repas et la sieste l’animation a été réalisée par des parapentistes qui prenaient leurs départs de ce sommet.
Au retour nous avons visité la chapelle, qui vu les journées du patrimoine, était commentée par une charmante personne.
Nous avons fait un petit détour vers Castillon pour finir en beauté au pot d’amitié.
Christiane et Denis

Effectif réduit (5) pour cette randonnée vers ce classique du Couserans. Départ de Frechendech vers 7h45 pour une journée qui s’annonce ensoleillée et sous une température agréable. Le refuge de l’étang d’Araing nous accueille pour une petite pause banane et thé et nous voilà partis, après le passage au col d’Aoueran, à l’attaque des pentes raides du pic que nous atteindrons vers 13 h. Déjeuner au sommet (2630m) afin de profiter du magnifique panorama puis retour par le même chemin. Arrêt au refuge où nous prenons un pot bien mérité sur la terrasse sous le soleil et retour vers le parking où nous retrouvons les véhicules vers 19 h.
Une journée bien remplie, agréable, et 1800m de dénivelé pour environ 23km de distance.
JP

La météo s’étant améliorée, nous étions 13 pour cette randonnée proposée au pied levé.
Un parcours bien connu mais toujours apprécié, surtout sous un soleil radieux.
Après 4h d’ascension, nous parvenons à l’étang où tout le monde s’installe pour le repas, lequel s’est trouvé animé (?), voire agrémenté (!), par l’arrivée d’un jeune randonneur qui n’a pas hésité à plonger alors que la température de l’eau ne devait pas excéder 12 degrés ….
Le retour s’est achevé, comme à l’habitude, par le pot de l’amitié au restaurant du Pla de la Lau.
J-P

Très beau temps mais brumeux. Rando sur terrain facile, piste puis pelouses sur les crêtes. 750 m de dénivellé. Belle vue sur la chaîne du pic du Midi. Bonheur des rares solitudes de ce coin des Hautes Pyrénées. Splendeur des prairies à Myrtilliers enflammées par les teintes d’automne.
Olivier

Le dimanche 9 octobre nous étions 17 à partir du Carol (canton de Massat) pour monter au hameau des Goutets 1400m, sur les contreforts du Massif des 3 Seigneurs.
Cette randonnée nous a permis de revisiter ce site remarquable à vocation pastorale très ancienne.
Constitué de bardaous (grange étable), d’orris (cabane du pâtre) et de mazucs(petits orris qui servaient à affiner le fromage et conserver le beurre), ce
site encore utilisé pour les troupeaux, a une vocation de plus en plus touristique.
Suite à une augmentation de la démographie, au 19ème siècle, ce hameau accueillait, durant les mois d’été, les familles qui pratiquaient les cultures vivrières et l’élevage sur les pâtures.
Un ciel lumineux nous a permis de profiter de ce site idyllique.
Après un pique nique joyeux et un bon repos au doux soleil automnal, nous sommes redescendus par une boucle, en empruntant un sentier dans la forêt.
550 m de dénivelé pour 3h30 marche AR.
Cette belle journée s’est terminée par le pot de l’amitié à Oust.
Nicole Boudigue

Nous étions 8 pour entreprendre cette ascension au départ de Cagateille. Après un peu plus de deux heures de montée nous atteignons l’étang de la Hillette que nous contournons pour continuer vers le port. De fortes rafales de vent nous accompagnent jusqu’au sommet d’où il faut redescendre pour trouver un coin abrité pour la pause déjeuner.
Au cours de la descente nous avons la chance de rencontrer un petit groupe de bouquetins tranquilles qui se laissent approcher à distance raisonnable. Un petit crochet par l’étang (rude descente) et retour au parking où nous retrouvons les amis qui avaient fait le parcours jusqu’à l’étang.
J-P

D’un dénivelé plutôt modeste de moins de 800 m depuis le parking, l’ascension vers l’étang de la Hillette n’est pas forcément de tout repos. Un départ pourtant tranquille jusqu’au fond du très touristique cirque de Cagateille précède une montée très raide jusqu’en haut du cirque. Pour preuve de la difficulté plusieurs mains courantes de sécurité on été mises en place. Puis, à la sortie de la forêt, la suite se fait sur des dalles très accrocheuses aux semelles. Le petit plus de la montée finale est le « saut du chat » bien sécurisé mais assez impressionnant pour inquiéter un néophyte.
André

Randonnée en boucle et hors sentiers sur les crêtes du pic de la Journalade. Elle commence par un sentier en balcon au dessus de la vallée de Saurat, sentier marqué comme balisé sur la carte IGN mais abandonné depuis des années. Le sentier se perd … puis se retrouve. Il faut ensuite grimper directement vers la crête en évitant les fougères. Puis, suivre presque sans effort, sauf de lutter contre le vent, la crête qui domine le massif des trois seigneurs. Belles vues mais temps très brumeux. Redescente sous les falaises du  pic de la Journalade, par un vallon étonnamment peu fréquenté, et pourtant si facile d’accès, et à l’ambiance haute montagne.
Olivier

Nous étions 9 courageux à affronter sans relâche, pluie, bourrasques de vent et froid pour atteindre le refuge d’En Beys. Par chance nous avons pu pique-niquer dans le refuge d’hiver. Confort et bonne ambiance. Pour la descente si le vent s’était un peu calmé, la pluie nous a accompagnés jusqu’au parking. Pot de l’amitié à Castelnau-Durban chez Victor où l’ambiance joyeuse a perduré.
Randonnée sans problème, mais qui promet des perspectives variées au-delà du refuge pour les prochains beaux jours.
Mado.

Randonnée agréable, enjolivée par la première neige de la saison et un soleil radieux. À la montée, vue sur le refuge et le pic de Rulhe. Le temps – et l’envie – nous ont manqués pour aller jusqu’au Port de Fontargente. Nous étions trop bien à nous restaurer et paresser au bord des lacs. Mais ce n’est que partie remise, nous nous sommes promis d’y monter aux beaux jours pour y jouir du point de vue sur l’Andore.
Mado.

Balade sur la frontière entre le Val d’Aran et la Haute Garonne, à partir du joli village de Canejan, perché au dessus de la Garonne à 900m d’altitude. On commence à grimper par un chemin bon mais raide, et même très raide, pendant presque une heure, puis la pente s’adoucit progressivement jusqu’à la fontaine d’Hount Hereda. Et ça repart très raide sur une trace incertaine dans la forêt de hêtres jusqu’aux douceurs d’une crête herbeuse qui nous amène au Cap de Canérilles (1764m). Vue inhabituelle sur les pentes sud du Crabère et du Maubermé. Retour par le même chemin ce qui nous permet de récupérer une clef de voiture abandonnée !
Et le p’tit verre de l’amitié, au derniers rayons du soleil, avant de partir, sur la terrasse du café restaurant du village.
Papito

Nous étions vingt – oui, vingt – à participer à cette randonnée, pas aussi facile que prévue, mais dont tout le monde garde un bon souvenir : temps magnifique, marche dans la neige fraîche et panorama splendide sur les sommets enneigés du Couserans et de la Haute Ariège.
Merci à vous tous d’être venus.
Mado

Le 16 Décembre nous étions 31 à partager un repas festif au LP Camel.
Malgré de petits quiproquos par rapport au menu, l’ambiance était joyeuse.
Ce repas a permis de clôturer dans la bonne humeur une année de randonnées variées.

L’AG s’est déroulée à l’ancien Palais des Évèques.
Après l’adoption à l’unanimité du rapport financier, des activités et du rapport moral nous avons fêté avec un cadeau le départ de notre chère Christiane qui a tenu les comptes sans faillir pendant plus de 10 ans. Encore un grand merci Christiane.
Nous avons accueilli et élu notre nouvelle trésorière : Sylvie Dubois.

A la future année 2023 avec la perspective de belles découvertes.
Nicole Boudigue

Par cette belle journée de décembre, nous étions 12 à partir de La Pucelle.
Après une montée dans la forêt sur un sentier impeccable, nous avons atteint la cabane de Besset occupée par des randonneurs fêtards. Après 2h30 de montée nous avons pu admirer les paysages depuis la cabane du Clos du Lac sous la neige. Le majestueux Vallier, la Mail de Bulard , le port d’Orle et toute la crête jusqu’au Courbayran.
Par contre le sommet du Coucou était déneigé et nous avons mangé notre pique nique sur les pentes herbeuses ensoleillées.
Après le départ des plus pressés nous avons paressé au soleil avant d’entamer la descente.
Retour aux voitures à 16h pour un dénivelé de 990 m, 10 km et 5h de marche.
Pas de pot car tout le monde était un peu pressé de rentrer pour assister au match du siècle !!!
Nicole Boudigue